Quel false flag pour l'OTAN ?
"La Russie ne tolérera pas si Kiev et l'Occident procèdent à une provocation dans le Donbass et attaquent les Russes". Konstantin Gavrilov représentant russe à l'OSCE Dans la crise Est-Ouest extrême qui secoue aujourd'hui l'Europe, une réactivation meurtrière de la guerre dans le Donbass, enterrée depuis février 2015 dans un réseaux de 480 kilomètres de tranchées et de bunkers, ne peut servir cette hégémonie de l'OTAN en Ukraine que si la responsabilité de l'escalade peut être imputée aux milices des républiques séparatistes du Donbass, ou mieux aux forces russes elles-mêmes qui depuis leurs régions de Rostov sur le Don et Sébastopol veillent attentivement sur le sort de leurs citoyens. Car, pour ne citer que l'exemple de la guerre en Géorgie à l'issue de la guerre éclair au cours de laquelle les forces armées russes étaient intervenus pour défendre les républiques d'Abkhazie et d'Ossétie, la commission d'enquête de l'Union Euro