Le front du Donbass, poubelle de l'Ukraine !
Depuis le Maïdan, on voit renaître l'idéologie nazie, essentiellement à partir de la Galicie, cette région géographiquement et identitairement occidentale de l'Ukraine, où les braises d'une idéologie bandériste ayant collaboré - avec un zélé criminel exceptionnel - au totalitarisme hitlérien.
Cette résurgence du nazisme ukrainien qui trouve de nombreux échos parmi les nationalismes occidentaux communautaro-centrés et surtout les officines étasuniennes et mondialistes qui considèrent (à juste titre) les paramilitaires nationalistes, bandéristes, hooligans et autres ukropithèques décérébrés, comme des idiots utiles parfaits pour agiter une russophobie hystérique et violente sur les frontières de la Russie.
Souvent des personnes jugent ce focus sur le néo-nazisme ukrainien comme largement exagéré, ce qui est vrai si on considère les résultats électoraux obtenus par ses vitrines politiques (parti "Svoboda", "Prayvi Sector"...).Cependant, force est de constater que l'idéologie bandériste est tolérée et même mise en valeur par le pouvoir de Kiev (hommage à Bandera et aux vétérans SS, nazification de la microtoponymie, rassemblements paramilitaires publiques, attribution de missions de sécurité au "Corps National, etc. ).
Non ce ne sont pas des tournages de films sur la seconde guerre mondiale mais des scènes de la vie quotidienne dans le "Banderistan", cette région de Lvov où, depuis la chute de l'URSS, flotte de plus en plus dans l'air une nostalgie puante et bien sûr bénie par l'encens de l'église catholique uniate :
Le néonazisme européen qui désormais a "pignon sur rue" en Ukraine et jusque dans les ministères et sur les bancs du parlement national, gagne progressivement du terrain à la faveur d'un effondrement socio-économique du pays, de sa militarisation et de la guerre qui sévit depuis 7 ans dans le Donbass, entre autres facteurs décisifs pour un recroquevillement des mentalités dans un discours nationaliste communautaro centré qui par définition est simpliste et haineux et dont la xénophobie consubstantielle est ici dirigée hystériquement contre le monde russe.
Et le front du Donbass, qui est déjà le terrain de haine des bataillons spéciaux nationalistes depuis 2014, est en train de devenir le "cluster", pour prendre un mot à la mode, de toute cette idéologie nauséabonde.
Ainsi voici aujourd'hui de nouveaux exemples de ce dépotoir nazi qu'est devenu pour l'Ukraine mais aussi les nationalistes occidentaux ce front du Donbass et sur lequel j'ai déjà présenté dans ce blog de nombreux détritus :
Et en plus d'être infectées par ces ukropithèques, les unités ukrainiennes doivent faire face quotidiennement à des problèmes graves de discipline, d'alcoolisme, de drogue, de rixe, de suicide et d'accident qui dans la majorité des cas sont symptomatiques d'un effectif où sévit une proportion considérable de débiles et d'asociaux mais fer de lance de ces "guerriers de lumière" de la propagande kiévienne (on pourrait sans exagérer faire un parallèle psychologique avec ces autres idiots utiles de Washington que sont les djihadistes salafistes dans les pays arabes).
Voici la vidéo pathétique d'un jeu débile et mortel survenu au début avril dans un casernement ukrainien sur le front du Donbass. Vidéo que j'ai hésité longtemps à partager, tant les images sont très dures:
Vous n'avez pas l'impression que les pays occidentaux qui soutiennent inconditionnellement le régime de Kiev et sa horde d'ukropithèques bombardant les populations du Donbass marchent complètement sur la tête ?
Il est vraiment temps que les européens se réveillent !
Erwan Castel
Groupe de combat du bataillon "Azov" (devenu régiment), positionné sur le front de Mariupol |