Les nuées sombres
En ce triste anniversaire de l'exécution en 1973 de Salvador Allende par les pantins chiliens de la CIA, en Syrie mais aussi dans le Donbass, les vents d'automne sont chargés des odeurs de la guerre.
Le mondialisme, ce monstre capitaliste engendré par la bourgeoisie, est devenu fou de rage devant l'effondrement de son système militaro-industriel et la résistance grandissante des peuples.
Comme un monstre qui se noie, ce Nouvel ordre mondial amoral veut tout détruire dans son agonie, organisant le terrorisme international contre les résistants, excitant les divisions communautaristes pour mieux soumettre les peuples et les entraîner dans son suicide.
Et surtout dans une fuite en avant que ne contrôlent même plus les pouvoirs étatiques, cette ploutocratie apatride veut incendier ses dettes mortelles et ceux qui refusent sa dictature dans une nouvelle guerre mondiale...
Heure après heure, le matin du grand soir approche et chaque peuple va devoir choisir entre le camp de l'esclavage ou celui de la liberté.
Dans les lueurs de l'aurore réveillant les ruines du front et les tirs des armes, le soleil qui vient de l'Est éclaire plus que jamais tout mon engagement sur cette terre cosaque entre Occident et Eurasie.
Erwan Castel