Ambulance sous le feu ukrainien
Photo Novorossita Today |
La veille l'armée ukrainienne avait encore bombardé le village de Kominternovo entre Mariupol et Novoazovsk, blessant un homme de 59 ans et une femme de 60 ans
Hier, 27 septembre 2018, l'armée ukrainienne s'est une nouvelle fois rendue coupable d'un crime de guerre en tirant sur un véhiculaire sanitaire identifiable qui procédait dans le même secteur de Kominternovo (Sud de la République Populaire de Donetsk) à l'évacuation évacuation sanitaire d'un soldat blessé lors d'un nouveau bombardement effectué le matin.
Hier, 27 septembre 2018, l'armée ukrainienne s'est une nouvelle fois rendue coupable d'un crime de guerre en tirant sur un véhiculaire sanitaire identifiable qui procédait dans le même secteur de Kominternovo (Sud de la République Populaire de Donetsk) à l'évacuation évacuation sanitaire d'un soldat blessé lors d'un nouveau bombardement effectué le matin.
Quand le véhicule sanitaire réglementairement panneauté de la Croix rouge médicale est arrivé sur zone, il a été pris pour cible et frappé par un tir direct des soudards ukrainiens. 2 personnels ont été tué et 2 autres blessés dans ce nouveau crime de guerre ukrainien.
Anya Chabanova, indicatif "Sirène", 28 ans et Oleg Sokurenko, indicatif "Skif" 27 ans sont les nouvelles victimes de la haine criminelle qui frappe le Donbass depuis 4 ans avec la complicité de plus en plus active des démocraties droitdel'hommistes occidentales qui financent et encadrent ces crimes de guerre.
Que la terre leur soit légère et leur souvenir éternel !
Cet assassinat de 2 personnels sanitaires n'est pas une nouveauté pour Kiev. Régulièrement les véhicules sanitaires et leurs personnels sont pris pour cible par les soldats ukrainiens comme par exemple cette ambulance qui le 8 août dernier avait été frappée dans le même secteur de Novoazovsk, entraînant la mort de 2 femmes médecins et de leur chauffeur.
Cet assassinat de 2 personnels sanitaires n'est pas une nouveauté pour Kiev. Régulièrement les véhicules sanitaires et leurs personnels sont pris pour cible par les soldats ukrainiens comme par exemple cette ambulance qui le 8 août dernier avait été frappée dans le même secteur de Novoazovsk, entraînant la mort de 2 femmes médecins et de leur chauffeur.
Il faut saluer ici le courage exceptionnel de ces médecins, infirmiers et aides-soignants, civils ou militaires qui continuent malgré le danger très élevé a porter assistance aux soldats et habitants blessés sur la ligne de front.
Katia Katina de l'agence News Front avait rencontré en mai 2017 Anya l'une des deux victimes de ce crime de guerre. "Sirena" s'était engagée sur le front dès les premiers jours du conflit. Rapidement elle s'est porté volontaire pour intégrer les équipes de secouristes et a participé à de nombreuses évacuations sous les bombardements et le feu ennemi, au cours desquelles elle a laissé le souvenir d'une femme courageuse et gentille. Je l'avais rencontré avec une amie au début de cette année et je garde le souvenir d'une femme rayonnante et humble.
Non seulement Kiev devra répondre un jour prochain de ces crimes de guerre répétés depuis 4 ans dans le Donbass et en Ukraine où les russes ethniques continuent d'être opprimés par les paramilitaires et les nationalistes ukrainiens, mais les gouvernements occidentaux devront également comparaître sur le bancs des accusés pour avoir soutenu financé et même encadré ces assassins.
Erwan Castel