A propos de la "dénazification" de l'Ukraine
"Pour rejoindre la famille européenne sur un pied d'égalité, l'Ukraine doit revenir sur son histoire, c'est-à-dire cesser de glorifier ceux qui ont collaboré avec les nazis et tué des dizaines de milliers de Juifs. Il y a Babi Yar à Kiev, la rue qui y mène s'appelle Stepan Bandera, qui est glorifié dans les écoles et qui a tué des dizaines de milliers de Juifs et collaboré avec les nazis. L'Europe, ce sont des valeurs économiques, des valeurs juridiques, mais aussi des valeurs morales. Vous ne pouvez pas à la fois commémorer les Juifs qui ont été assassinés par les nazis et des dizaines de milliers d'Ukrainiens et faire l'éloge de ceux qui ont assassiné les Juifs. C'est impossible! Dans ce cas, l'Ukraine n'a pas sa place en Europe, à moins qu'elle ne tourne le dos à son histoire".
Depuis 1945, le bandérisme ukrainien, ce collaborateur zélé du nazisme n'a jamais disparu, refugié dans son sanctuaire galicien de cette région de Lvov où le souvenir de l'arrivée des SS en 1941 est considéré comme une libération, et depuis 2014, l'impérialisme étasunien pour décomplexée une russophobie historique va organiser une alliance mortifère avec ce nazisme ukrainien qui n'a d'égale que celle réalisée en Syrie avec le pire fondamentalisme islamiste pour servir une rapacité mondialiste amorale.
Et pourtant...
Si nous autres, les pro-russes dénonçant la résurgence factuelle du nazisme en Ukraine, aussitôt on nous accuse d'être les thuriféraires d'une propagande mensongère du Kremlin quand ce n'est pas de pratiquer une inversion accusatoire contre la sainte démocratie occidentale droitdelhommiste.
Je voudrais voir la tronche de tous ces crétins mondialistes lorsque Arno Klarsfeld qui est l'avocat de l'Association des fils et filles de déportés juifs de France et coqueluche des chaires médiatiques de la Bien Pensance déclare :