"Pas de nazisme en Ukraine"
Nakonechny, maire de la ville ukrainienne de Karlovka, dans la région de Poltava. |
Entre bandérisme et nazisme la nuance à l'épaisseur du papier à cigarette, n'en déplaise aux BHL and Co qui, toute honte bue soutiennent ce nouveau régime de Kiev aux relents ideologiques nauséeux et aux méthodes criminelles.
Récemment le régiment Azov, qui régulièrement visité par les officiers étasuniens, canadiens mais aussi les politiciens comme Mac Cain avant qu'il ne parte brûler en enfer, a été déployé sur le front Ouest de Donetsk.
Et ces abrutis d'Azov, recrutés dans les culs de basse fosse des prisons ukrainiennes, les hordes des hooligans ukrainiens ou les caniveaux des néo-nazis européens (et qui auraient certainement les premiers à être liquidés par la "race supérieure"), n'ont pas trouvé mieux que de planter un drapeau nazi sur leur première ligne.
BHL pourtant l'a affirmé haut et fort "il n'y a pas de nazisme en Ukraine"
En avril par exemple les ukrainiens célèbrent la création de la division SS Galicia qui s'illustra plus dans sa collaboration au nazisme dans des exécutions de civils à l'arrière du front que dans des combats face à l'armée rouge.
Et tout ce joli troupeau de criminels décérébrés est financé aujourd'hui par les occidentaux au nom de la "réalisation du rêve européen" pour citer encore BHL lorsqu'il haranguait les paramilitaires ukrops sur le Maïdan en 2014.
Erwan Castel