7 années de Liberté retrouvée !
Aujourd'hui la population de la Crimée célèbre le 7 anniversaire du référendum par lequel unanimement (96,7%) elle a exprimé et obtenu son retour au sein de sa mère patrie russe.
C'est Kroutchev, dans un mépris total des pays réels qui, en 1954 avait arbitrairement intégré la Péninsule de Crimée dans le territoire de la République Socialiste Soviétique d'Ukraine.
Tant que l'Ukraine était membre de L'URSS la population, "contre mauvaise faisait bon cœur" car ne changeait sous le soleil de Moscou.
Mais lorsque l'effondrement de l'URSS par l'indépendance bâclée de l'Ukraine (1991) abandonna cet immense territoire (le plus grand pays d'Europe) aux oligarques locaux, sa diversité communautaire devint progressivement source d'antagonisme entre les populations russes de l'ancienne Novorossiya et celles plus polono-lituaniennes de l`Ouest ukrainien.
A ce moment là la Crimée, profitant de son statut particulier (région russe récente, citoyens majoritairement russes, base navale russe...), à lancé plusieurs référendums populaires autorisés par sa constitution pour se détacher progressivement de l'errance de la nouvelle Ukraine :
1 / le 20 janvier 1991, premier référendum où 94,30 % de votants se prononçaient pour le rétablissement d'une "République socialiste autonome de Crimée".
2 / le 27 mars 1994, second référendum, où 78.40 % des votants réclament un élargissement de l'autonomie de la péninsule.
3 / enfin ce 16 mars 2014, troisième référendum où 96,77% des votants (sur 86% de participation) se prononçent en faveur d'un retour au sein de la Russie.
Lorsque les pantins politiques occidentaux et leurs bouffons médiatiques clament que le référendum de 2014 est truqué par Moscou, ils oublient qu'en réalité, au contraire il ne fait que confirmer la volonté exprimée par ce peuple russe depuis plus de 20 ans.
Avec ce référendum de Crimée (qui fut contrôlé et validé par 70 observateurs de 23 pays différents) nous avons la preuve de la vivacité des peuples de Russie à défendre leur appartenance à un Imperium supra communautaire les inscrivant dans une destinée historique commune, mais aussi la fourberie et la malhonnêteté des États droitdelhommistes occidentaux qui piétinent ici le "droit souverain des peuples à disposer d'eux mêmes" tel que défini dans les articles 1 (point 2) et 55 de la charte des Nations Unis du 26 juin 1945, que pourtant ils agitent souvent à la tribune des nations pour justifier leurs interventionismes pzr proxys interposés dans les pays alignés.... riches en matières premières bien sûr...
La Crimée était, est et restera russe, non par la volonté du Kremlin uniquelent mais surtout par celle de ses communautés naturelles.
Le Donbass attend désormais de pouvoir la rejoindre...
Erwan Castel