Un patriotisme supra communautaire
A l'heure où l'OTAN, ce bras armé de la ploutocratie mondialiste presse ses unités sur les marches d'un empire russe qui refuse de se soumettre à sa dictature de la marchandise, les peuples d'Europe devraient se souvenir de l'exemple et du sacrifice des ses peuples pour leur Liberté.
Car, du 22 juin 1941 au 9 mai 1945 la Russie va montrer l'exemple de son unité et de son patriotisme et le sacrifice de 25 millions de ses citoyens va être la contribution majeure à la liberatio de l'Europe et l0a défaite du nazisme.
Pendant la guerre froide qui a suivi ce conflit mondial, la propagande de guerre antisovietique occidentale va tenter de minimiser cette action déterminante des peuples russes, ainsi que leur sacrifice et engagement présentés comme des contraintes imposées de force par une dictature soviétique criminelle.
La réalité est autre, car si le commandement militaire soviétique s'est parfois montré dur et exigeant envers ses soldats (comme tout commandement en guerre digne de ce nom et habité par le "culte de la mission"), on doit cette immense victoire russe à la relation charnelle du citoyen russe à cette empire qui a su traverser tout au long de l'Histoire ses déclinaisons tsariste, soviétique ou fédérale.
Le 22 juin 1942 au déclenchement de l'opération "Barbarossa", les peuples de Russie répondent "Présent" à l'appel de Staline. Si l'idéologie et l'appareil politique soviétiques vont savoir stimuler et diriger jusqu'à la victoire la défense de la Russie et de l'Europe, il n'en reste pas moins vrai que cet appel sera entendu parce que, qu'ils soient européens, caucasiens, asiatiques, sibériens, mongols etc, ce sentiment indéfinissable et métaphysique que l'on appelle patriotisme est enraciné dans le coeurs des peuples composant cette immense pays "où le soleil ne se couche jamais".
Non seulement ce patriotisme exemplaire des peuples de Russie n'est pas qu'un mythe cultivé dans les officines propagandistes, mais une réalité et qui existe toujours aujourd'hui par delà les appartenances communautaristes de chacun ou les directives idéologiques du moment.
Ce dynamisme patriotique russe exceptionnel, et qui nous offrira, après 4 ans de souffrances et sacrifices inouïs, la victoire et la liberté est toujours là par delà les vents de l'Histoire, immuable roc d'une Russie invaincue.
Et il s'exprime toujours avec force sur cette terre noire du Donbass qui est aujourd'hui aux avants postes de sa Liberté :
Ce dynamisme patriotique russe exceptionnel, et qui nous offrira, après 4 ans de souffrances et sacrifices inouïs, la victoire et la liberté est toujours là par delà les vents de l'Histoire, immuable roc d'une Russie invaincue.
Et il s'exprime toujours avec force sur cette terre noire du Donbass qui est aujourd'hui aux avants postes de sa Liberté :
Quand en 2014 le coup d'Etat du Maïdan organisé par les occidentaux est suivi d'une campagne d'agressions de masse dirigées contre les russophones d'Ukraine, de très nombreux russes ressentent cela comme une nouvelle opération "Barbarossa" commanditée par le nouveau totalitarisme occidental.
Sans qu'il y ait eu de la part du Kremlin un seul appel à une résistance armée au coup d'Etat, on voit les peuples de Russie se révolter contre cette agression opérée en Ukraine. A commencer par les peuples de Crimée (russes ukrainiens, tatars) qui vont obtenir par référendum le retour de leur péninsule vers la "Mère patrie".
Pour les oblats de Donetsk et Lugansk, la situation dégénère rapidement en conflit armé et disproportionné lorsque Kiev envoie ses chars et avions de combat contre les barricades des fédéralistes les poussant dans séparatisme survivaliste.
Et dans ce conflit européen l'ombre de Barbarossa plane d'autant plus au dessus du Donbass que les sentences politiques du nouveau pouvoir kiévien et l'idéologie symbolisée des bataillons spéciaux qui sont lancées contre les russophones reprennent sans honte ceux du 3ème Reich nazi.
De tout le monde slave et de tous les horizons de la Fédération de Russie, des hommes et des femmes vont alors affluer vers la ligne de front du Donbass pour prêter main forte aux miliciens qui s'opposent à l'assaut des blindés ukrainiens.
On ne connaîtra probablement jamais leurs effectifs exacts, mais avancer sur les quatre années de conflits réalisées le chiffre de plusieurs dizaines de milliers de volontaires étrangers au Donbass n'est pas exagéré.
Les groupes d'autodéfense des jeunes Républiques Populaires de Donetsk et Lugansk devenues depuis bataillons qui toutes reflètent tous cette dimension internationale de la rébellion contre ces marionnettes étasuniennes installées à Kiev par une stratégie expansionniste n occidentale agressive.
Alors que les nationalistes occidentaux, influencés par des pensées unique aux idéologies centralisatrices (religieuse, économique, culturelle...), associent généralement le patriotisme à un communautarisme fermé (ethnie, religion, territoire), dans le monde russe au contraire ce sentiment se révèle très souvent supracommunautaire.
Dans cette observation apparaît nettement la différence entre un impérialisme de conquête au service d'un système esclavagiste (idéologique, militaire ou économique) et une notion d'empire qui rassemble les différences sans les altérer dans leurs identités existencielles.
En Russie le résultat de cette "civitas imperium" volontaire qui a traversé les siècles et ses déclinaisons tsariste, soviétique et fédérale peut s'observer aujourd'hui dans le Donbass dans toute sa puissance intemporelle.
En effet venant parfois des antipodes des Républiques de Donetsk et Lugansk, des volontaires russes, bouriates, ouzbeks, ukrainiens, kazakhs, tatars, caucasiens, ainous, coréens, tchétchénes etc. qu'ils soient orthodoxes, païen, musulmans, juifs ou athées, sont venus dans le bassin du Don défendre avec leur sang la liberté d'une population européenne skave et orthodoxe.
Et on ne peut pas dire que c'est l'appât du gain le pouvoir politique ou les conditions de vie qui les ont motivé !
A ce titre, la "Brigade internationale Piatnashka" reste fidèle à cette éthique accueillant toujours les volontaires de tous pays désireux de combattre pour la liberté du Donbass, y compris des volontaires occidentaux dont la conscience et le sens du devoir les conduisent à tout abandonner pour rejoindre Donetsk.
Ce patriotisme russe qui répond présent le 22 juin 1941 reste un exemple immortel de l'amour éternel porté par les Hommes à leur sanctuaire au delà de toute les idéologies éphémère.
Dans cette observation apparaît nettement la différence entre un impérialisme de conquête au service d'un système esclavagiste (idéologique, militaire ou économique) et une notion d'empire qui rassemble les différences sans les altérer dans leurs identités existencielles.
En Russie le résultat de cette "civitas imperium" volontaire qui a traversé les siècles et ses déclinaisons tsariste, soviétique et fédérale peut s'observer aujourd'hui dans le Donbass dans toute sa puissance intemporelle.
En effet venant parfois des antipodes des Républiques de Donetsk et Lugansk, des volontaires russes, bouriates, ouzbeks, ukrainiens, kazakhs, tatars, caucasiens, ainous, coréens, tchétchénes etc. qu'ils soient orthodoxes, païen, musulmans, juifs ou athées, sont venus dans le bassin du Don défendre avec leur sang la liberté d'une population européenne skave et orthodoxe.
Et on ne peut pas dire que c'est l'appât du gain le pouvoir politique ou les conditions de vie qui les ont motivé !
A ce titre, la "Brigade internationale Piatnashka" reste fidèle à cette éthique accueillant toujours les volontaires de tous pays désireux de combattre pour la liberté du Donbass, y compris des volontaires occidentaux dont la conscience et le sens du devoir les conduisent à tout abandonner pour rejoindre Donetsk.
Ce patriotisme russe qui répond présent le 22 juin 1941 reste un exemple immortel de l'amour éternel porté par les Hommes à leur sanctuaire au delà de toute les idéologies éphémère.
Erwan Castel volontaire breton à Piatnashka