Le choix des armes et surtout du combat !

"La guerre est toujours juste lorsqu'elle est nécessaire
et les armes sont sacrées lorsqu'elles sont l'unique ressource des opprimés"

Nicolas Machiavel, "Le Prince" (1515)

Ce 12 juin est en Russie la "journée du drapeau" et pour moi l'occasion de coucher ici quelques réflexions qui me viennent à l'esprit au sujet du Donbass à l'aune des crises ontologiques secouant des populations occidentales dont les seules réactions à la phase finale de leur mise en esclavage par le système mondialiste semble des spasmes imbéciles  d'idéologies moribondes qu'il organise lui-même pour protéger sa dictature de la marchandise...

Le drapeau en Russie n'est pas un symbole adulé ou conchié au gré de discours politiques comme l'est aujourd'hui par exemple le drapeau français, mais la représentation des réalités territoriales et humaines multiples d'une "idée d'empire" métapolitique forgée à travers ses déclinaisons historiques tsariste, soviétique et fédérale. Ici on parle des communautéS et des peupleS de Russie unis autour d'un drapeau qui n'appartient à aucune d'entre elles en particulier et symbolise une destinée commune civilisationnelle et apolitique , partagée individuellement et librement. 

A ce titre et n'en déplaise à ceux qui, par amour ou haine, voudraient y porter leurs fantasmes idéologiques sectaires, les républiques populaires du Donbass sont bien l'expression vivante et combattante de cette "idée d'empire" qui selon moi est la seule capable de protéger les peuples naturels, et de vaincre ce mondialisme qui étend son ombre mortifère sur leurs libertés et leurs traditions qui sont les feuillages et les racines de leurs identités et dignités respectives.


L'aigle impériale qui orne souvent les drapeaux de la Fédération de Russie et des républiques  qui en font partie ou s'en réclament rappelle, non pas une idéologie politique  historique particulière, mais bien cette "idée d'empire" qui est au coeur d'une vision métapolitique et même civilisationnelle partagée par tout un ensemble de peuples et communautés unis dans leur diversité.

Après plus de 6 années de combats et de bombardements, le Donbass, à travers ses 2 Républiques Populaires de Donetsk et Lugansk autoproclamées, continue de résister à l'agression militaire ukrainienne issue du coup d'Etat du Maïdan de février 2014. Ici et ailleurs, les raisons et motivations des uns et des autres ont souvent été décrites, privilégiant personnellement la position du Donbass dont la rébellion relève beaucoup plus d'un sens commun collectif que d'une idéologie politique choisie ou imposée, même si son contexte géopolitique Est-Ouest ne peut être ignoré, surtout lorsqu'il s'agit d'expliquer les enlisements radicaux, militaire et diplomatique du conflit. 


Et je pense aujourd'hui, pour avoir suivi cette rébellion du Donbass  jusqu'à porter à mon tour les armes dans ses tranchées, que cette nouvelle page de l'histoire pontique concerne bien tous les peuples d'Europe, autant par ses menaces et enjeux que dans ce qu'elle révèle, par opposition, ce qu'est devenu aujourd'hui cette péninsule Eurasiatique occidentale. En effet le Donbass, en s'opposant au coup d'Etat du Maïdan refuse d'abord ce modèle occidental dont la post-modernité orientée vers une société individualiste et consumériste symbolise une décadence civilisationnelle qui, après une longue succession d'absolutismes dogmatiques religieux, politiques, économiques et culturels, a conduit progressivement les peuples de l'Ouest européens dans une servitude totale et suicidaire à l'égard d'un Nouvel Ordre Mondial, hégémonique et amoral. 

Mais dans cette région bordant les rives septentrionales de la Mer Noire et dont l'unité historique est connue sous le nom de Novorossiya, les populations russes, qui lui ont façonné sa géographie humaine moderne au temps de l'impératrice russe Catherine II, ont conservé leur identité russe à travers des traditions historiques, religieuses et culturelles que n'ont pas entamé les systèmes politiques se succédant depuis 3 siècles dans la gouvernance de cette région d'Europe.

Jusqu'au coup d'Etat du Maïdan...


En avril 2014, face au coup d'Etat russophobe du Maïdan, la contestation populaire du Donbass reprend rapidement le chemin d'un séparatisme déjà revendiqué par le passé et animée par une volonté, grandissante depuis l'indépendance de l'Ukraine, d'intégrer la Russie de ses origines.

Dans une Ukraine post-soviétique engluée depuis son indépendance dans le marasme d'un système oligarchique aux corruptions récurrentes, le mécontentement populaire était régulièrement courtisé par les mondialistes dont le vampirisme, sous les leurres d'une "occidental way of life", lorgnait cet immense territoire pour y pouvoir faire avancer leurs pions militaro-industriels jusqu'aux frontières de cette Russie qui persiste à leur rester "non alignée". Cette lutte politique pour le trône de Kiev a ainsi été marquée notamment par une "Révolution orange" (2004) et une "Révolution de la dignité" qui aboutira finalement à un renversement du président élu Ianoukovitch, en février 2014.

Or, au lendemain du coup de ce coup d'Etat du Maïdan où avait déjà été exhumée des placards du nazisme une propagande de guerre russophobe, le nouveau pouvoir ukrainien, entièrement contrôlé par ses parrains occidentaux, plutôt que de rechercher une union nationale dans une relance économique prioritaire et épurée de la corruption ambiante, a préféré se lancer dans une croisade clivante et violente contre les populations russophones d'Ukraine constituant plus de la moitié de sa population.

A l'image des matriochka, ces poupées russes s’emboîtant les unes dans les autres, on peut offrir plusieurs niveaux de lecture à cette guerre du Donbass qui depuis plus de 6 ans a réveillé l'épicentre d'une tectonique européenne très ancienne, où les empires puis les grandes puissances modernes se disputent le contrôle de cette porte méditerranéenne qu'est la Mer Noire. Nous pouvons observer en effet dans ce conflit du Donbass la continuité de:
  • La rivalité multimillénaire entre l'empire maritime dominant (thalassocratie) et l'empire immuable du milieu (Russie); c'est le conflit éternel entre le liquide des relations commerciales et le solides des traditions terrestres tel que décrit par Zigmund Baumann par exemple.
  • Le contrôle militaire occidental de cette porte maritime permettant d'exclure la Russie ("stratégie du containment" théorisée par Kennan en 1948 mais qui remonte à la fin du XVIIIème siècle, lorsque la libération de ses terres pontiques occupées par les ottomans va permettre à la Russie de concurrencer le monopole oriental de la thalassocratie britannique).
  • L'expansion de l'OTAN vers les frontières russes occidentales immédiatement derrière lesquelles se trouvent la majorité des centres géopolitiques russes qui, sans le glacis des républiques socialistes soviétiques, se retrouvent sans profondeur stratégique et sous la menace immédiate des missiles occidentaux. 
  • La complexité d'un Etat politique ukrainien artificiel (qui n'existait pas avant la révolution bolchevique) aux multiples identités qui, depuis l'effondrement d'un soviétisme qui les unissait, se sont progressivement rapprochées vers leurs berceaux Est ou Ouest au fur et à mesure de effondrement socio-économique général du pays. 

Mais mon propos ici n'est pas d'évoquer à nouveau la situation du Donbass sous ses prisme géopolitique ou historique, mais d'attirer votre attention sur la dynamique populaire qui s'y exprime depuis 6 ans, par delà les idéologies politiques et malgré une guerre meurtrière éprouvante et les difficultés économiques qu"elle occasionne.

Car, soutenue ou haïe, force est de constater que la rébellion du Donbass est toujours là, intacte et fidèle à elle même dans ses objectifs originels et populaires. Et, pour ceux qui prennent le temps d'écouter autre chose que les discours officiels, on peut observer ici que ni les pouvoirs politiques ni les appareils d'Etat des Républiques Populaires de Donetsk et Lugansk monopolisent l'expression de cette dynamique politico-militaire opérée en 2014 devant les blindés ukrainiens, mais que cette dernière reste incontestablement celle d'un peuple tout entier qui défend volontairement et massivement, des tranchées du front aux manifestations culturelles des centres villes, ses traditions et libertés russes.

Dans la nébuleuse dissidente des populations occidentales ployant sous la servitude d'un mondialisme amoral, on observe de plus en plus de crispations communautaristes - religieuses, politiques ou ethniques - qui, par les divisions qu'elles provoquent se font en réalité le jeu d'un système qui, par des crises organisées ou des émotions médiatisées détourne les populations vers des querelles horizontales stériles, alors que le vrai combat pour la Liberté des peuples est par définition a-politique et vertical, comme celui mené par le Donbass pour défendre depuis 6 années de guerre son identité naturelle, ses libertés et ses traditions.

En ce sens on peut sans se tromper affirmer que la rébellion du Donbass est une véritable révolution populaire qui a su imposer sa volonté à l'Ukraine par les armes et au reste du Monde (y compris la Russie) par par sa résilience, sa ténacité et la maturité de ses républiques autoproclamées. Si cette rébellion armée du Donbass, qui a tant coûté aux populations de Donetsk et Lugansk, avait été, comme la propagande de guerre ukraino-occidentale veut faire croire, une opération imposée par un petit groupe idéologique ou pire une puissance extérieure, jamais son unité combative populaire n'aurait pu durer aussi longtemps, au milieu des morts, des blessés des destructions et des privations subis. 


Aujourd'hui, à celles et ceux pour qui les mots "Liberté" et "Tradition' ont encore un sens, l'ennemi est sans conteste cette dictature mondialiste d'une marchandise qui, dans la phase finale d'un esclavage orwellien, veut s'imposer jusque dans la plus petite de nos libertés individuelles et tout contrôler jusque dans le secret de nos intimités les plus anodines. 

Ce libéralisme capitaliste et amoral est l'ennemi de la Vie et de la Liberté autant que de la Nature et des peuples qui les chérissent défendent... Il est l' Ennemi ou plutôt, au vu des délires suicidaires agitant la dissidence, il devrait l'être !

Car les occidentaux, conditionnés par 2000 ans d'absolutismes idéologiques communautaro-centrés divers, continuent de croire à leurs fantasmes jusqu'à foncer encore et toujours dans les chiffons rouges propagandistes et aujourd'hui médiatiques qui sont agités devant des taureaux de leurs certitudes dogmatiques. Depuis la saturation de l'analyse critique par les avalanches d'images qu'elle provoque la société du spectacle excite les émotions de foules de plus en plus instrumentalisées ce qui est l'énorme paradoxe de notre époque où l'accès à toutes les informations possibles est généralisé.  Le fait est que ce système déclenche régulièrement et avec toujours la même facilité déconcertante des éruptions de haine viscérale qu'elle soit religieuse ou laïque, raciste ou antiraciste, fasciste ou antifasciste, machiste ou féministe, écologiste ou climato-sceptique, Raoult ou anti Raoult, etc. etc... détournant les énergies dissidentes de leur combat prioritaire et toujours bizarrement, quand une contestation générale antisystémique incite les esclaves à secouer leurs chaines.

N'avez vous pas remarqué que dans ce théâtre cynique post-moderne, toute opinion se radicalise et devient agressive: l'homme de gauche ou de droite ne peut survivre que dans leurs extrêmes, la féministe est devenue femen etc. jusqu'au végétarien qui est devenu vegan... tous se prêtant plus ou moins inconsciemment au cirque médiatique d'une bien pensance hypocrite où l'émotion a remplacé la raison.  Ainsi, en offrant aux radicalisations diverses, même les plus insignifiantes, des tribunes spectaculaires, le système politico-médiatique via ces idiots utiles, envoie les communautaristes, à l'instar des gladiateurs, se foutre sur la gueule - enfin surtout sur leurs réseaux sociaux masturbatoires et indolores - jusqu'à leur faire oublier qu'ils sont tous les esclaves du même maître et atteints du même syndrome de pensées uniques communautaro-centrées. 

Ainsi, pendant que les idiots se chamaillent au fond de l'arène, la ploutocratie du haut de ses tribunes radicalise son système liberticide et son pouvoir totalitaire. Pour s'en convaincre il n'y a qu'à observer les querelles médiatico-sociétales organisées parce que passionnelles et donc stériles, autour de l'instrumentalisation politicienne de l'épidémie du Covid19 ou des violences policières.
Et si vous rajoutez en fond de tableau et surtout de connerie, ce manichéisme auquel semble devoir se soumettre toute vision et analyse politique ou sociétale occidentale, ce qui transforme l'agora en ring de boxe, alors on achève de poser la pierre tombale sur le trou où s'est enlisée toute seule la pensée critique et de sceller la mise en esclavage de la liberté de penser, après avoir entraver celle de s'exprimer.

Quand est que les gens comprendront qu'un débat ne peut-être passionnant et constructif que s'il est préalablement dépassionné et ouvert à la critique ?


L'exemple du Donbass


Personnellement, n'étant pas compétent pour cela, je ne sais plus comment faire comprendre à des dissidents occidentaux parmi lesquels je compte beaucoup d'amis (de droite ou de gauche, girondins ou jacobins), que leurs certitudes dogmatiques et leurs émotions incontrôlées fonçant dans le premier chiffon rouge agité par le système politico-médiatique en font des collabos car elles annihilent leurs capacités à se libérer et même souvent à réfléchir. Comment ouvrir les yeux des esclaves sur la manipulation mentale de cette ploutocratie qui, pour exciter leurs fantasmes, n'hésite pas à mettre en scène ses propres détracteurs, du moment qu'ils détournent eux-mêmes leurs rhétoriques vers des passions communautaristes et des querelles horizontales qui servent de diversions au pouvoir dominant et justifient même sa radicalisation. 

Engagé dans les rangs de la milice de la République Populaire de Donetsk depuis plus de 5 ans, je suis perçu tantôt comme un fasciste, un communiste, un marginal, par ceux qui veulent à tout prix me coller une étiquette sur le dos pour rassurer la vacuité de leurs dogmes idéologiques. Ces crétins me regardent en fonçant les sourcils comme les idiots qui regardent le doigt montrant la lune, et malheureusement trop rares sont ceux qui ne rentrent pas dans cette catégorie !

Avant de venir à Donetsk mettre mes idées au bout d'un fusil, j'observais depuis l'hiver 2013 cette crise ukrainienne qui allait accoucher de cette guerre abjecte du Donbass au printemps 2014, (période à laquelle je décide de créer ce présent blog), provoquant cette revendication séparatiste et d'intégration à la Russie qui s'apparente à une vraie révolution conservatrice, populaire et fédéraliste.  

Lorsqu'on observe l'évolution des événements qui secouent le coeur de l'Europe on peut constater que le Maïdan a surtout scellé un crépuscule occidental et réveillé un printemps russe via ce choc entre l'Ukraine et les républiques de Donetsk et Lugansk, qui sont leurs deux acteurs régionaux. Mais surtout, cette rébellion du Donbass sonne aussi la reconquête radicale par les peuples naturels de leurs souverainetés et destinées trop longtemps étouffées par des absolutismes idéologiques, politiques, économiques ou culturels: et cela explique certainement entre autres raisons majeures pourquoi la bien-pensance occidentale a jeté sur ce conflit meurtrier aux confins des territoires géographiques et des cycles historiques européens une chape de plomb politico-médiatique hallucinante et criminelle. 

Comme la précédente révolution populaire armée européenne que fut la guerre d'indépendance irlandaise de 1916-1923, le peuple du Donbass, pour protéger ses traditions et sa dignité, a préféré la guerre du loup libre à la paix du chien servile. 

Rafi Jabar, indicatif "Abdullah", est un volontaire, musulman originaire d’Afghanistan, venu en 2014 aider la population russe du Donbass à se défendre contre l'agression ukrainienne. Bien que grièvement blessé et amputé de ses 2 jambes en septembre 2017, "Abdullah" continue de travailler pour le Donbass, sa nouvelle patrie, et de soutenir les volontaires venus s'engager dans ses milices.
Respect !!

Ce qui caractérise cette rébellion du Donbass et en fait un exemple pour les autres peuples cherchant à s'émanciper de leurs esclavages, c'est certainement qu'elle s'inscrit dans un combat supra-communautaire qui n’obéit à aucune idéologie politique particulière directrice, n'en déplaise aux  imbéciles qui veulent y voir dans son déclenchement et organisation "la main de Moscou". Contrairement au rattachement référendaire de Crimée qui fut accompagné par la Russie, cette dernière dans le Donbass n'a fait que suivre le choix souverain d'une nation en situation de légitime défense et qu'elle soutient aujourd'hui (et quel qu'en soit le prix) par devoir humanitaire vis à vis des peuples composant le monde russe.

Cette dimension impériale, que symbolise l'aigle bicéphale des drapeaux s'y référençant, offre une force politique et militaire exceptionnelle à ces jeunes et petites républiques populaires de Donetsk et Lugansk, écrasées entre un bélier ukrainien conduit par l'OTAN et un pont levis russe que le Kremlin ne peut encore abaissé sans risque majeur pour une paix mondiale déjà fortement fragilisée par un chaos mondialiste organisé.

En effet, en dehors du soutien politique, économique et humanitaire de Moscou, Donetsk et Lugansk bénéficient, depuis plus de 5 ans, d'un l'afflux continuels de volontaires venant se défendre aux côtés de leurs populations la liberté et les traditions du Donbass et combattre la dictature d'une marchandise occidentale qui depuis 30 ans incendie les pays "non alignés". 

Ici point de discours communautaristes ou idéologiques à la con comme ceux que l'on peut entendre en Occident; côte à côte se battent pour le Donbass des communistes, des orthodoxes, des nationaux  bolcheviques,  des musulmans, des asiatiques, des athées, des caucasiens, des royalistes, des juifs, des anarchistes etc, etc.
Ces femmes et ces hommes venus des quatre horizons et qui tiennent ici bec et ongle plus de 460 kilomètres de front, risquant quotidiennement leurs vies avec des salaires misérables sont infatigables et invincibles car animés par l'amour partagé pour la Liberté des peuples et de leurs patries charnelles. 

Voilà le socle populaire des valeurs collectives telles que la Liberté, l'Egalité et la Fraternité (tiens cela me rappelle quelque chose) qui, lorsqu'elles sont servies par des qualités individuelles telles que le Courage, la Résilience et le Sacrifice, offrent aux peuples la force pour défendre leurs traditions et libertés de faire le douloureux choix des armes.

Qui dit choix des armes, dit combat.... 

Or le premier combat que doit mener un esclave s'il veut se marronner, c'est celui contre ses propres démons intérieurs que sont les peurs de ses ignorances et les haines de ses certitudes toutes ces émotions et passions imbéciles qui le font se recroqueviller dans des idéologies communautaristes figées et suicidaires et des dogmes liberticides comme l’intangibilité des frontières artificielles par exemple qui, avec la préemption néocoloniale des ressources naturelles est la source de la plupart des conflits depuis le XXème siècle. 

En cela, le Donbass devrait servir d'exemple aux dissidents occidentaux qui veulent se libérer du mondialisme mais de facto ne font que le servir, tous ces "rebelles 2.0" qui haranguent les réseaux sociaux mais ont oublié que c'est dans la rue et contre les pouvoirs que se font les vraies révolutions, et aussi à tous ces frustrés moribonds qui pour défendre leurs identités mythifiées se gargarisent avec des fantasmes communautaristes hors sol qui interdisent justement la réalisation de cette union sacrée métapolitique vitale autour des vraies "patrie charnelles".

"Je dis ça, je dis rien" 


Erwan Castel

L'étendard de la Brigade Internationale "Piatnashka" 

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