Un idiot utile qui tombe à point
Dernière mise à jour 9 juin 2016 (voir en fin d'article)
Un français arrêté en Ukraine
Personnellement, je pense aux 2 hypothèses, à savoir celle d'un abruti de crâne rasé tatoué qui a voulu profité de l'anarchie ukrainienne pour faire ses courses de mythomane et autour duquel on invente une histoire abracadabrantesque qui arrange un pouvoir empêtré dans ses erreurs...
En effet, déjà avant que l'Ukraine ne sombre dans un chaos socio-économique où la corruption et les réseaux mafieux sont débridés depuis le Maïdan, le pays était déjà connu pour son marché noir de l'armement qui écoulait les vieux stocks de l'armée soviétique...
Que cet individu soit impliqué dans le conflit qui déchire le Sud Est de l'Ukraine, j'en doute fortement à part peut-être avec les néo-nazis des bataillons spéciaux dans les rangs desquels on compte quelques échoués gaulois...Quoiqu'il en soit, il a du certainement, par ses affinités idéologiques ou par son pouvoir d'achat tout simplement, se connecter aux réseaux paramilitaires de type Prayvi Sector qui animent des trafics en tout genre, de la prostitution à la drogue en passant par l'armement...
En revanche, ce qui est intéressant, c'est le calendrier français dans lequel s'inscrit ce non-événement qui normalement aurait du à peine mérité 3 lignes en dernière page d'un quotidien affamé.
Car ici on sent se mettre en branle une nouvelle opération d'enfumage médiatique, visant à entretenir la peur, justifier l'état d'urgence, détourner l'attention du public sur le vrai danger d'attentat islamistes en France, et surtout détourner les projecteurs (déjà noyés par les inondations) des grèves et manifestations sociales, en attendant l' "Euro 2016"....
A 1 an des élections, les magiciens socialistes viennent de nous sortir du chapeau un terrorisme venu de l'Est (tiens tiens) et dont les cibles désignées (avant enquête !) sont les membres de la communauté musulmane habituellement désignée comme le terreau du terrorisme international...
J'espère que cet idiot utile n'a pas récupéré des fumigènes en Ukraine, parce que les stocks de l'Elysée en sont plein à craquer et la braderie semble ouverte et bon marché...
Erwan Castel
Source, le lien ici : Le Figaro.fr
Un Français de 25 ans arrêté en Ukraine
avec des armes de guerre
Originaire de Lorraine, le jeune homme transportant des armes et des explosifs a été arrêté à la frontière de l'Ukraine et de la Pologne fin mai, selon plusieurs médias. Il est soupçonné d'avoir voulu commettre un attentat en France, d'après M6.
Que comptait faire Grégoire M., arrêté le 21 mai dernier avec un arsenal de guerre dans le coffre de sa voiture? Lance-roquettes, kalachnikovs, plus de 100 kilos de TNT... C'est ce qu'ont découvert des gardes-frontières ukrainiens en inspectant le véhicule de ce Français de 25 ans qui s'apprêtait à rejoindre la Pologne, selon des informations de la chaîne M6, confirmées par Reuters. Originaire de Lorraine, le suspect aurait projeté d'acquérir des munitions dans le but de rejoindre la France pour commettre des attentats sur le sol national, croit savoir la chaîne qui cite plusieurs sources concordantes. Détenu par les autorités ukrainiennes, il aurait évoqué comme cibles potentielles «des synagogues ou des mosquées», précise M6.
Inconnu des services de renseignements, sans antécédents judiciaires, le jeune homme aurait été repéré plusieurs jours avant son arrestation, les services de sécurité ukrainiens le soupçonnant de vouloir se procurer des armes. Ils sont aujourd'hui à la recherche d'un éventuel complice, circulant à bord d'une autre voiture. Dimanche soir, l'Ambassade de France a confirmé au Figaro que le suspect était bien détenu en Ukraine et qu'il bénéficiait d'une protection consulaire.
En France, une enquête préliminaire a été ouverte par la JIRS (Juridiction interrégionale spécialisée) de Nancy pour trafic d'armes. Le montant de l'arsenal serait, toujours selon M6, évalué à 250.000 euros. Les enquêteurs cherchent donc à savoir comment ce Lorrain a financé l'achat de toutes ces armes et s'il les transportait en vue d'un éventuel projet terroriste. Ce scénario «n'est pas totalement établi», a confié une source proche du dossier à Reuters. À ce jour, la section antiterroriste du parquet de Paris n'a pas ouvert d'enquête.
Un salarié «irréprochable»
Selon l'Est Républicain, les premières investigations ont été confiées à la briguade criminelle de SRPJ de Nancy. La perquisition de son domicile, situé à Nant-le-Petit dans la Meuse, a permis aux policiers de mettre la main sur des composants d'explosifs et un tee-shirt portant le sigle d'une organisation d'extrême droite, rapporte M6. Dans le village, c'est la stupéfaction, rapporte le quotidien régional. Selon des voisins, le jeune homme décrit comme très discret vivait dans un appartement appartenant à son grand-père. «On le voyait rarement, parce qu'il partait en déplacement en Alsace (où il travaille)», témoigne l'un d'eux dans l'Est Républicain. «Il disait toujours bonjour, demandait comment ça allait. C'était difficile de s'attendre à ça», a réagi une autre voisine.
Grégoire M. travaillerait comme inséminateur, employé par une coopérative agricole. C'est d'ailleurs au volant de sa voiture de fonction qu'il a été interpellé. «Il n'y a aucun reproche à lui adresser. Il a toujours eu une attitude irréprochable. C'est un salarié exemplaire…», a commenté une source interne à l'entreprise, citée dans l'Est Républicain.
Voir aussi sur le même sujet ;
- Sputnik le lien : ICI
- Le Parisien, le lien : ICI
Mise à jour.... 6 juin 2016
Mise à jour.... 7 juin 2016
Magouille et intox... confirmation.
Véritable coup d’arrêt à un important trafic d’armes ? Coup monté des services secrets ukrainiens destiné à montrer la bonne volonté de Kiev qui souhaite obtenir la suppression des visas vers l’Union européenne ? Le SRPJ de Nancy, lui, est à la recherche d’un homme qui réside en Lorraine.
Qui est ce deuxième homme interpellé en compagnie de Grégoire Moutaux ?
Etrange affaire que celle de l’interpellation le 21 mai dernier de ce jeune Meusien, Grégoire Moutaux, 25 ans, alors qu’il tentait de passer la frontière entre l’Ukraine et la Pologne au volant d’un Renault Kangoo de l’entreprise lorraine qui l’emploie depuis un an comme inséminateur.
L’homme, unanimement décrit comme « un bon jeune », « un salarié irréprochable », était en congés et devait reprendre le collier le 24 mai. Les services de sécurité ukrainiens ont assuré que dans le véhicule se trouvait un véritable arsenal : 125 kilos de TNT, 2 lance-roquettes anti-char, 5 Kalachnikov, 100 détonateurs et plus de 5.000 munitions.
La perquisition effectuée à son domicile de Nant-le-Petit, en Meuse, n’a rien donné de probant si ce n’est la découverte d’un tee-shirt avec un logo du « Renouveau français », mouvement politique d’extrême droite.
Les autorités ukrainiennes ont expliqué qu’elles surveillaient le Lorrain depuis décembre 2015, qu’au fil des mois, ce dernier était de plus en plus « intéressé par l’achat d’armes et d’explosifs ». Ils lui auraient alors tendu un piège, après lui avoir permis en amont de se procurer ce qu’il cherchait activement.
Vassyl Grytsak, patron du SBU (Services de sécurité ukrainiens), a assuré que Grégoire Moutaux, mu par une colère vis-à-vis de la politique gouvernementale française en matière d’immigration, envisageait au moins 15 attentats et ce, pendant la durée de l’Euro de football qui débute ce vendredi. Un projet monumental puisque cela représente une attaque terroriste tous les deux jours… Parmi les cibles citées par SBU, une mosquée, une synagogue, un centre des impôts ou encore un point de contrôle autoroutier. Assez hétéroclite…
Opération des services secrets ?
Une saisissante vidéo du chargement de la Kangoo et de l’interpellation a été diffusée. Un détail cependant interpelle après le visionnage de ces images : les services de sécurité ne parlent pas du passager de la Kangoo, porteur d’un tee-shirt vert et interpellé en compagnie de Grégoire Moutaux après avoir été plaqué au sol. La dépêche d’« Interfax », agence de presse russe qui dispose d’un bureau à Kiev (Ukraine) ne fait également pas mention d’une seconde interpellation. Questions : qui était ce deuxième homme ? Qu’est-il devenu ?
Pour l’heure, la piste terroriste n’a pas été privilégiée. La galerie Saint-Eloi de palais de justice de Paris, où se trouve le parquet antiterroriste, suit l’affaire de très près mais ne s’est pas saisie de dossier. C’est la JIRS (Juridiction interrégionale spécialisée) de Nancy, aussi muette que l’Ukraine est loquace, qui a ouvert une enquête préliminaire, pour « association de malfaiteurs » et « trafic d’armes », enquête confiée à l’Office central de lutte contre la criminalité organisée (OCLCO) et au SRPJ de Nancy.
Certaines sources évoquent également la piste d’un coup monté des services secrets ukrainiens et ce, au moment où le gouvernement de Kiev est en pleine négociation pour obtenir la suppression des visas pour ses ressortissants vers l’Union européenne. Pas impossible non plus…
Toujours est-il qu’il est désormais établi que Grégoire Moutaux, qui avait apparemment une copine en Ukraine, a effectué, durant les deux dernières années, plusieurs voyages à but humanitaire dans ce pays. Et il était parfois accompagné. Ces personnes sont actuellement activement recherchées. Selon une source proche de l’enquête, le SRPJ de Nancy est sur la trace d’un autre homme résidant en Lorraine, plus précisément en Meuse, là d’où est originaire Grégoire Moutaux.
Eric NICOLAS
Mise à jour.... 9 juin 2016
Grégoire Moutaux c'est le nom donné par la presse française sur ce néonazi de 25 ans qui était venu en Ukraine pour se fournir en armes. Malgré les assertions continues des journalistes français depuis des mois, nous avions à plusieurs reprises mis en garde le public et les lecteurs sur les accointances existantes entre les réseaux néonazis français se définissant comme identitaires ou nationalistes avec l'Ukraine brune. A propos des mercenaires venus combattre dans les rangs des bataillons spéciaux commettant des crimes de guerre, notamment dans le régiment Azov, nous voyions ici le résultat de l'incroyable mensonge d’État sur la nature même du régime.
Déjà au mois de janvier, la maire de Nantes avait interdit une conférence néonazie centrée sur des activistes néonazis voulant s'extasier sur le témoignage d'un combattant du fameux régiment Azov. Une première alerte qui n'avait pas été suivie par les médias français. Voici une nouvelle preuve bien plus alarmante, de la dangerosité des réseaux ukrainiens en France. Piégés par des mois de propagande russophobe qui a caché la vérité sur les exactions, les crimes de guerre, les massacres, les répressions politiques et les tortures commises par les forces armées ukrainiennes dans le Donbass et en Ukraine, sans parler de la police politique du SBU, les médias ne peuvent communiquer honnêtement sur la véritable situation.
https://dnipress.com/fr/posts/la-ville-socialiste-de-nantes-accueillera-une-conference-neonazie-avec-un-criminel-de-guerre-du-regiment-azov/
Les quelques combattants partis « massacrer du sous-homme » dans le Donbass, n'ont jamais caché le vrai objectif de leur aventure militaire : à savoir déclencher un Maïdan brun en France et se livrer à des actes violents et les mêmes massacres et répressions politiques dans l'Hexagone. L'expérience militaire et policière, l'expérience de la torture et des tueries n'a été acquise que dans un seul but, refaire cette guerre mais en France. Si ces projets sont irréalistes, les réseaux ultra néonazis montrent toutefois ici qu'ils restent dangereux, l'homme de 25 ans s'était accoquiné avec des combattants de l'Armée ukrainienne et avait pu se faire livrer un arsenal important qu'il comptait conduire en France pour commettre des attentats.
Ce que la presse française n'explique pas, c'est que ces réseaux sont nombreux en France, un petit exemple parmi d'autre est ce site de la région dont est originaire l'apprenti terroriste : https://lorrainenationaliste.com/ . Ces sites pullulent sur Internet sans parler de quelques-uns de leurs maîtres à penser comme le pitoyable mais populaire chez les néonazis, Gaston Besson : https://www.facebook.com/gastonbessonpublique/?fref=ts . Plus de 6 600 néonazis de toute sorte adulent déjà ce personnage par ailleurs membre du parti néonazi ukrainien Pravy Sektor. Nous citons souvent le criminel de guerre Thibault Dupire, issu de la bourgeoisie de robe, qui s'est souvent vanté des exécutions arbitraires et des bombardements ciblés sur les civils avec un cynisme pour l'instant de fanfaron. L'homme après un passage par le bataillon Azov, par les geôles turques, est allé faire le coup de feu au Moyen Orient, il n'est qu'un exemple de tout un aréopage de fondus du cervelet qui ont bien l'intention une fois rentrés de « défendre l'Europe blanche », je vous laisse imaginer le résultat du programme qui bouillonne dans ce genre de cervelles dérangées.
https://dnipress.com/fr/posts/un-francais-du-regiment-azov-demasque-et-convaincu-de-crimes-de-guerre/
Souvent menacé par eux de manière claire, notamment mes parents ou mes enfants, sans parler de diffamations basses qui sont l'absence d'arguments pour cacher la triste vérité de leurs visages hideux, ces personnages poursuivent donc dans l'impunité presque totale leur travail de sape en France. Ils peuvent le faire parce qu'ils servent le système de l'Union européenne et des États-Unis dans leurs manipulations en Ukraine à des fins pendables et liées au grand jeu hégémonique international. Ces gens deviennent audacieux au point de tenter avec l'aide des nazis ukrainiens d'importer leur guerre en France. L'histoire fait sourire et attriste à la fois, lorsque l'on sait que ce sont les Républicains du Donbass qui sont qualifiés de terroristes, que les journalistes français mentent sur l'importance de la composante nazie en Ukraine et dans son implication à la fois dans la guerre ethnique du Donbass et dans les réseaux néonazis européens. Le SBU comme il l'avoue lui-même aurait bien voulu cacher la vérité sur cette arrestation, c'est que l'affaire est embarrassante…
Elle démontre la forte présence de néonazis dans l'Armée ukrainienne, le trafic d'armes qui est un réel danger, de l'Ukraine vers le monde, l'impossibilité pour les états-majors ukrainiens de contrôler la quinzaine de bataillons nazis, soit environ 25 % des forces armées contre le Donbass, sorte de Waffen SS dans l'Armée ukrainienne, mais aussi encore une fois les réseaux qui se sont établis et qui menacent la France. Garante des Accords de Minsk, la France s'est déjà ridiculisée en supportant un régime d'oligarques corrompus, à la tête duquel se trouve le Roi du Chocolat Porochenko, soutenu par une large frange néonazie qui a fait la Révolution du Maïdan et qui fait la guerre, les répressions, les tortures et les massacres dans le Donbass. En cherchant à cacher à l'opinion publique française la vérité, pour cause de mise en laisse de la France par les USA et d'envie à tout prix de voir dans le Maïdan une Révolution de la Liberté alors qu'elle n'était que celle des révolutions de contrôles américaines, de la guerre et de la ruine, la France qui ne veut rien entendre découvre pourtant les dessous des cartes et le fait que si, il y a de nombreux nazis en Ukraine, que des Français y combattent et s'y forment à la guerre et aux massacres et que d'autres imaginent carrément s'en servir de tremplin pour une Révolution brune qui mènera l'Europe à un bain de sang.
Pour raison de fuite dans la presse, l'Ukraine aura donc été obligée de révéler l'arrestation du terroriste néonazi en herbe, dans le plus grand regret, non pas qu'il n'est pas pu agir, mais parce qu'il va mettre les phares sur toute cette frange obscure et noire de l'Ukraine, que Kiev aura bien voulu laisser dans l'ombre car elle sert pour l'instant le régime en tenant le front du Donbass, en se livrant aux basses besognes et en terrorisant les populations à l'Est du Dniepr, soit la moitié de l'Ukraine qui n'attendent qu'un événement ou une étincelle pour tendre la main à ceux du Donbass.
Notes, les médias français obligés de communiquer sur le sujet : http://www.lexpress.fr/actualite/societe/projets-d-attentats-ce-que-l-on-sait-sur-l-arrestation-d-un-francais-en-ukraine_1799404.html . Le film de Paul Moreira avait pourtant bien mis les choses au clair, si la France continue sur cette voie, elle est bonne pour une guerre civile à court ou long terme. Sur cette dernière image, le néonazi Gaston Besson récolte inlassablement des fonds, le nerf de la guerre, pour acheter des armes de l'équipement et organiser des réseaux prêts à l'action.
- Le Parisien, le lien : ICI
Mise à jour.... 6 juin 2016
Mise à jour.... 7 juin 2016
Magouille et intox... confirmation.
Source le lien ici : Est Républicain
Armes en Ukraine, sur la piste d'un autre meusien
Véritable coup d’arrêt à un important trafic d’armes ? Coup monté des services secrets ukrainiens destiné à montrer la bonne volonté de Kiev qui souhaite obtenir la suppression des visas vers l’Union européenne ? Le SRPJ de Nancy, lui, est à la recherche d’un homme qui réside en Lorraine.
Qui est ce deuxième homme interpellé en compagnie de Grégoire Moutaux ?
Etrange affaire que celle de l’interpellation le 21 mai dernier de ce jeune Meusien, Grégoire Moutaux, 25 ans, alors qu’il tentait de passer la frontière entre l’Ukraine et la Pologne au volant d’un Renault Kangoo de l’entreprise lorraine qui l’emploie depuis un an comme inséminateur.
L’homme, unanimement décrit comme « un bon jeune », « un salarié irréprochable », était en congés et devait reprendre le collier le 24 mai. Les services de sécurité ukrainiens ont assuré que dans le véhicule se trouvait un véritable arsenal : 125 kilos de TNT, 2 lance-roquettes anti-char, 5 Kalachnikov, 100 détonateurs et plus de 5.000 munitions.
La perquisition effectuée à son domicile de Nant-le-Petit, en Meuse, n’a rien donné de probant si ce n’est la découverte d’un tee-shirt avec un logo du « Renouveau français », mouvement politique d’extrême droite.
Les autorités ukrainiennes ont expliqué qu’elles surveillaient le Lorrain depuis décembre 2015, qu’au fil des mois, ce dernier était de plus en plus « intéressé par l’achat d’armes et d’explosifs ». Ils lui auraient alors tendu un piège, après lui avoir permis en amont de se procurer ce qu’il cherchait activement.
Vassyl Grytsak, patron du SBU (Services de sécurité ukrainiens), a assuré que Grégoire Moutaux, mu par une colère vis-à-vis de la politique gouvernementale française en matière d’immigration, envisageait au moins 15 attentats et ce, pendant la durée de l’Euro de football qui débute ce vendredi. Un projet monumental puisque cela représente une attaque terroriste tous les deux jours… Parmi les cibles citées par SBU, une mosquée, une synagogue, un centre des impôts ou encore un point de contrôle autoroutier. Assez hétéroclite…
Opération des services secrets ?
Une saisissante vidéo du chargement de la Kangoo et de l’interpellation a été diffusée. Un détail cependant interpelle après le visionnage de ces images : les services de sécurité ne parlent pas du passager de la Kangoo, porteur d’un tee-shirt vert et interpellé en compagnie de Grégoire Moutaux après avoir été plaqué au sol. La dépêche d’« Interfax », agence de presse russe qui dispose d’un bureau à Kiev (Ukraine) ne fait également pas mention d’une seconde interpellation. Questions : qui était ce deuxième homme ? Qu’est-il devenu ?
Pour l’heure, la piste terroriste n’a pas été privilégiée. La galerie Saint-Eloi de palais de justice de Paris, où se trouve le parquet antiterroriste, suit l’affaire de très près mais ne s’est pas saisie de dossier. C’est la JIRS (Juridiction interrégionale spécialisée) de Nancy, aussi muette que l’Ukraine est loquace, qui a ouvert une enquête préliminaire, pour « association de malfaiteurs » et « trafic d’armes », enquête confiée à l’Office central de lutte contre la criminalité organisée (OCLCO) et au SRPJ de Nancy.
Certaines sources évoquent également la piste d’un coup monté des services secrets ukrainiens et ce, au moment où le gouvernement de Kiev est en pleine négociation pour obtenir la suppression des visas pour ses ressortissants vers l’Union européenne. Pas impossible non plus…
Toujours est-il qu’il est désormais établi que Grégoire Moutaux, qui avait apparemment une copine en Ukraine, a effectué, durant les deux dernières années, plusieurs voyages à but humanitaire dans ce pays. Et il était parfois accompagné. Ces personnes sont actuellement activement recherchées. Selon une source proche de l’enquête, le SRPJ de Nancy est sur la trace d’un autre homme résidant en Lorraine, plus précisément en Meuse, là d’où est originaire Grégoire Moutaux.
Eric NICOLAS
Mise à jour.... 9 juin 2016
Source, le lien ici : DONi Press
Un nazi français des nazis ukrainiens, l'inquiétante prolifération au sein du mensonge national
Grégoire Moutaux c'est le nom donné par la presse française sur ce néonazi de 25 ans qui était venu en Ukraine pour se fournir en armes. Malgré les assertions continues des journalistes français depuis des mois, nous avions à plusieurs reprises mis en garde le public et les lecteurs sur les accointances existantes entre les réseaux néonazis français se définissant comme identitaires ou nationalistes avec l'Ukraine brune. A propos des mercenaires venus combattre dans les rangs des bataillons spéciaux commettant des crimes de guerre, notamment dans le régiment Azov, nous voyions ici le résultat de l'incroyable mensonge d’État sur la nature même du régime.
Déjà au mois de janvier, la maire de Nantes avait interdit une conférence néonazie centrée sur des activistes néonazis voulant s'extasier sur le témoignage d'un combattant du fameux régiment Azov. Une première alerte qui n'avait pas été suivie par les médias français. Voici une nouvelle preuve bien plus alarmante, de la dangerosité des réseaux ukrainiens en France. Piégés par des mois de propagande russophobe qui a caché la vérité sur les exactions, les crimes de guerre, les massacres, les répressions politiques et les tortures commises par les forces armées ukrainiennes dans le Donbass et en Ukraine, sans parler de la police politique du SBU, les médias ne peuvent communiquer honnêtement sur la véritable situation.
https://dnipress.com/fr/posts/la-ville-socialiste-de-nantes-accueillera-une-conference-neonazie-avec-un-criminel-de-guerre-du-regiment-azov/
Les quelques combattants partis « massacrer du sous-homme » dans le Donbass, n'ont jamais caché le vrai objectif de leur aventure militaire : à savoir déclencher un Maïdan brun en France et se livrer à des actes violents et les mêmes massacres et répressions politiques dans l'Hexagone. L'expérience militaire et policière, l'expérience de la torture et des tueries n'a été acquise que dans un seul but, refaire cette guerre mais en France. Si ces projets sont irréalistes, les réseaux ultra néonazis montrent toutefois ici qu'ils restent dangereux, l'homme de 25 ans s'était accoquiné avec des combattants de l'Armée ukrainienne et avait pu se faire livrer un arsenal important qu'il comptait conduire en France pour commettre des attentats.
Ce que la presse française n'explique pas, c'est que ces réseaux sont nombreux en France, un petit exemple parmi d'autre est ce site de la région dont est originaire l'apprenti terroriste : https://lorrainenationaliste.com/ . Ces sites pullulent sur Internet sans parler de quelques-uns de leurs maîtres à penser comme le pitoyable mais populaire chez les néonazis, Gaston Besson : https://www.facebook.com/gastonbessonpublique/?fref=ts . Plus de 6 600 néonazis de toute sorte adulent déjà ce personnage par ailleurs membre du parti néonazi ukrainien Pravy Sektor. Nous citons souvent le criminel de guerre Thibault Dupire, issu de la bourgeoisie de robe, qui s'est souvent vanté des exécutions arbitraires et des bombardements ciblés sur les civils avec un cynisme pour l'instant de fanfaron. L'homme après un passage par le bataillon Azov, par les geôles turques, est allé faire le coup de feu au Moyen Orient, il n'est qu'un exemple de tout un aréopage de fondus du cervelet qui ont bien l'intention une fois rentrés de « défendre l'Europe blanche », je vous laisse imaginer le résultat du programme qui bouillonne dans ce genre de cervelles dérangées.
https://dnipress.com/fr/posts/un-francais-du-regiment-azov-demasque-et-convaincu-de-crimes-de-guerre/
Souvent menacé par eux de manière claire, notamment mes parents ou mes enfants, sans parler de diffamations basses qui sont l'absence d'arguments pour cacher la triste vérité de leurs visages hideux, ces personnages poursuivent donc dans l'impunité presque totale leur travail de sape en France. Ils peuvent le faire parce qu'ils servent le système de l'Union européenne et des États-Unis dans leurs manipulations en Ukraine à des fins pendables et liées au grand jeu hégémonique international. Ces gens deviennent audacieux au point de tenter avec l'aide des nazis ukrainiens d'importer leur guerre en France. L'histoire fait sourire et attriste à la fois, lorsque l'on sait que ce sont les Républicains du Donbass qui sont qualifiés de terroristes, que les journalistes français mentent sur l'importance de la composante nazie en Ukraine et dans son implication à la fois dans la guerre ethnique du Donbass et dans les réseaux néonazis européens. Le SBU comme il l'avoue lui-même aurait bien voulu cacher la vérité sur cette arrestation, c'est que l'affaire est embarrassante…
Elle démontre la forte présence de néonazis dans l'Armée ukrainienne, le trafic d'armes qui est un réel danger, de l'Ukraine vers le monde, l'impossibilité pour les états-majors ukrainiens de contrôler la quinzaine de bataillons nazis, soit environ 25 % des forces armées contre le Donbass, sorte de Waffen SS dans l'Armée ukrainienne, mais aussi encore une fois les réseaux qui se sont établis et qui menacent la France. Garante des Accords de Minsk, la France s'est déjà ridiculisée en supportant un régime d'oligarques corrompus, à la tête duquel se trouve le Roi du Chocolat Porochenko, soutenu par une large frange néonazie qui a fait la Révolution du Maïdan et qui fait la guerre, les répressions, les tortures et les massacres dans le Donbass. En cherchant à cacher à l'opinion publique française la vérité, pour cause de mise en laisse de la France par les USA et d'envie à tout prix de voir dans le Maïdan une Révolution de la Liberté alors qu'elle n'était que celle des révolutions de contrôles américaines, de la guerre et de la ruine, la France qui ne veut rien entendre découvre pourtant les dessous des cartes et le fait que si, il y a de nombreux nazis en Ukraine, que des Français y combattent et s'y forment à la guerre et aux massacres et que d'autres imaginent carrément s'en servir de tremplin pour une Révolution brune qui mènera l'Europe à un bain de sang.
Pour raison de fuite dans la presse, l'Ukraine aura donc été obligée de révéler l'arrestation du terroriste néonazi en herbe, dans le plus grand regret, non pas qu'il n'est pas pu agir, mais parce qu'il va mettre les phares sur toute cette frange obscure et noire de l'Ukraine, que Kiev aura bien voulu laisser dans l'ombre car elle sert pour l'instant le régime en tenant le front du Donbass, en se livrant aux basses besognes et en terrorisant les populations à l'Est du Dniepr, soit la moitié de l'Ukraine qui n'attendent qu'un événement ou une étincelle pour tendre la main à ceux du Donbass.
Notes, les médias français obligés de communiquer sur le sujet : http://www.lexpress.fr/actualite/societe/projets-d-attentats-ce-que-l-on-sait-sur-l-arrestation-d-un-francais-en-ukraine_1799404.html . Le film de Paul Moreira avait pourtant bien mis les choses au clair, si la France continue sur cette voie, elle est bonne pour une guerre civile à court ou long terme. Sur cette dernière image, le néonazi Gaston Besson récolte inlassablement des fonds, le nerf de la guerre, pour acheter des armes de l'équipement et organiser des réseaux prêts à l'action.
Laurent Brayard pour DONi.Press