Salopards !
Le 6 mars dernier les ukrainiens ont rendu le corps d'un jeune soldat de la République Populaire de Donetsk, Evgeny Igorevnich Toropkin, originaire de Makeevka (près de Donetsk)
Le corps de ce jeune homme de 26 ans (19/09/1991) qui avait été capturé vivant le 2 mars dernier présente des blessures multiples et mortelles consécutives à des tortures aggravées, que l'autopsie à confirmé par la suite.
Evgeny Toropkin avait été fait prisonnier le 2 mars dernier au cours d'une reconnaissance offensive menée par la 36ème brigade d'infanterie de marine ukrainienne, déployée sur le front de Mariupol au Sud de la République Populaire de Donetsk.
Cette unité ukrainienne est commandée par le colonel Dmitry Evgenievich Delyatitsky qui déjà tristement célèbre par une série de violations des coutumes de guerre, crimes de guerre, violences contre la population civile, corruption et pots de vin la 36ème brigade d'infanterie de marine ukrainienne partage ce secteur du front avec le bataillon spécial "Azov" du colonel Biletsky avec lequel elle rivalise en crimes et exactions de tous genres.
Avant de rendre le corps, les tortionnaires du soldat Toropkin ont tenté de camoufler les marques de torture en découpant la peau de leur victime a de nombreux endroits. La boîte crânienne à elle seule présente 57 éclats divers...
Cet épisode infâme qui constitue un nouveau crime de guerre et un acte de barbarie innomable n'est malheureusement pas exceptionnel. Les ukrops sont coutumiers en effet de sévices et tortures ainsi que d'exécutions sommaires envers les prisonniers de guerre.
Paix à son âme et que le souvenir des morts soit plus que jamais la force des vivants qui, sans d'abaisser au niveau de l'ennemi n'oublieront pas et ne lui pardonneront jamais ses crimes odieux.
Et bien sûr, pas un mot dans les médias occidentaux asservis aux gouvernements "droitdelhommistes", parrains du pouvoir de Kiev et complices de ses assassins.
Erwan Castel
PS J'ai choisi de ne pas publier le photo insupportable du visage martyrisé de Evgeny, par pudeur et respect pour son souvenir qui doit rester selon moi celui d'un jeune homme souriant à une vie aimée pour laquelle il s'est sacrifié.