Persiste et signe !
Des milliers de volontaires sont venus dans le Donbass depuis 2014 rejoindre sa résistance Antimaïdan et sa rébellion armée contre une pseudo "Opération Spéciale Antiterroriste", ukrainienne, cette vomissure russophobe sortie du Maïdan et soutenue par les services étasuniens et les gouvernements occidentaux qui a fait depuis 6 années de guerre environ 20 000 morts au coeur de l'Europe.
Parmi ces volontaires internationaux, nous sommes un certain nombre de citoyens français, qui avons pris les armes sur le front du Donbass dans les rangs des forces de défense des républiques populaires de Donetsk et de Lugansk et dont je tairai ici l'effectif exact, les identités et les actions pour ceux qui en ont mené. Les volontaires français, venus dans le Donbass pour des durées généralement très courtes et des motivations très diverses, malgré leur faible effectif global, ont semble t-il marqué les esprits ukrainiens au point qu'ils déclenchent aujourd'hui une nouvelle procédure judiciaire à leur encontre
Personnellement je sers sous les armes la République Populaire de Donetsk, dont je suis devenu citoyen, depuis février 2015 (avec une seule interruption de 8 mois en 2016-2017), et j'assume mes états de service et mes actes sur le front, pour lesquels j'ai été récompensé, avec autant de force que je réfute les accusations du bureau du procureur de l'Ukraine qui qualifie les volontaires étrangers d'être des mercenaires et des criminels.
Ces accusations ne sont pas nouvelles, et elles resurgissent tel un serpent de mer ukrainien, tantôt sur des sites propagandistes tel Mirotvorets, un site qui prétend recenser tous les soutiens aux républiques populaires du Donbass, tantôt dans des médias propagandistes ou des communiqués officiels.
Et j'ai déjà eu l'occasion de m'exprimer sur ces accusations que les ukropithèques veulent agiter comme une épée de Damoclès au dessus des volontaires français venus dans le Donbass et qui ne sont plus qu'une poignée aujourd'hui à assumer jusqu'au bout leur engagement (Et je ne parle pas des civils de la bande à Moreau - Brayard - Néant ces arrivistes venus faire leur shows médiatiques à Donetsk mais tout en se tenant très éloignés du volontariat militaire dont ils ont même cherché à dénigrer les engagements et les personnes pour ne pas fâcher les services francais et nuire ainsi à leurs intérêts personnels hexagonaux).
Dans le communiqué du bureau du procureur de l'Ukraine traduit ci après, les accusations portées contre les volontaires étrangers dans le Donbass font logiquement référence au code pénal ukrainien, mais surtout aux conventions de Genève pour tenter de donner une dimension internationale aux procédures judiciaires que Kiev veut et a déjà engager contre nous (mandat d'arrêt européen, Interpol, extradition etc...).
Ces accusations ne sont pas nouvelles, et elles resurgissent tel un serpent de mer ukrainien, tantôt sur des sites propagandistes tel Mirotvorets, un site qui prétend recenser tous les soutiens aux républiques populaires du Donbass, tantôt dans des médias propagandistes ou des communiqués officiels.
Et j'ai déjà eu l'occasion de m'exprimer sur ces accusations que les ukropithèques veulent agiter comme une épée de Damoclès au dessus des volontaires français venus dans le Donbass et qui ne sont plus qu'une poignée aujourd'hui à assumer jusqu'au bout leur engagement (Et je ne parle pas des civils de la bande à Moreau - Brayard - Néant ces arrivistes venus faire leur shows médiatiques à Donetsk mais tout en se tenant très éloignés du volontariat militaire dont ils ont même cherché à dénigrer les engagements et les personnes pour ne pas fâcher les services francais et nuire ainsi à leurs intérêts personnels hexagonaux).
Dans le communiqué du bureau du procureur de l'Ukraine traduit ci après, les accusations portées contre les volontaires étrangers dans le Donbass font logiquement référence au code pénal ukrainien, mais surtout aux conventions de Genève pour tenter de donner une dimension internationale aux procédures judiciaires que Kiev veut et a déjà engager contre nous (mandat d'arrêt européen, Interpol, extradition etc...).
Comme je l'avais déjà expliqué dans un précédent article voici ma position concernant cet article 47 du Protocole additionnel I de 1977 aux Conventions de Genève sur lequel s'appuie la procédure internationale que veut engager Kiev:
"Un mercenaire est un combattant étranger aux parties en conflit, "spécialement recruté dans le pays ou à l'étranger" et qui "prend une part directe aux hostilités". Ce combattant doit également avoir un "avantage personnel" à participer à ce conflit, qui doit prendre la forme d'une rémunération "nettement supérieure à celle de ses homologues de l'armée régulière"
1. "Un mercenaire n'a pas droit au statut de combattant ou de prisonnier de guerre."
2. "Le terme «mercenaire» s'entend de toute personne :"
a) "qui est spécialement recrutée dans le pays ou à l'étranger pour combattre dans un conflit armé ;"
b) "qui en fait prend une part directe aux hostilités ;"
c) "qui prend part aux hostilités essentiellement en vue d'obtenir un avantage personnel et à laquelle est effectivement promise, par une Partie au conflit ou en son nom, une rémunération matérielle nettement supérieure à celle qui est promise ou payée à des combattants ayant un rang et une fonction analogues dans les forces armées de cette Partie ;"
d) "qui n'est ni ressortissant d'une Partie au conflit, ni résident du territoire contrôlé par une Partie au conflit ;"
e) "qui n'est pas membre des forces armées d'une Partie au conflit ;"
f) "qui n'a pas été envoyée par un Etat autre qu'une Partie au conflit en mission officielle en tant que membre des forces armées dudit Etat."
Pour conclure, ce clabaudage du procureur général de l'Ukraine est selon moi un nouveau coup d'épée dans l'eau semblable à celui répété depuis 2014 lorsque Kiev cherche à faire qualifier les républiques populaires de Donetsk et Lugansk d' "états terroristes", ce que l'ONU a toujours refuser de faire.
Peu me chaut d'être accusé de "terrorisme" (Kiev), de "nazisme" (street press), de "stalinisme" (prayvi sector), d' "espionnage", de "désertion", de "vol" (Brayard, Néant...) par des individus qui ne prouvent ici que leur débilité mentale et/ou leur servitude à de groupes subversifs et d'intérêts extérieurs. Je sais exactement pourquoi je suis dans le Donbass, quelles idées j'ai décidé de mettre au bout d'un fusil et quelles utilisations j'ai fait de ce dernier sur le front depuis plus de 5 années. Et j'emmerde ceux que cela dérange !
Quant aux accusations de terrorisme ou de crimes lancés régulièrement par les ukropithèques à l'encontre des volontaires venus se battre dans le Donbass, elles relèvent aussi comme les précédentes d'une débilité, calomnie, et inversion accusatoire mises au service de la propagande de guerre russophobe occidentale.
Avec Macron la France, qui était déjà le laquais de la stratégie de l'OTAN et du capitalisme libéral depuis longtemps, n'a de cesse que de s'investir de plus en plus aux côtés du nouveau régime de Kiev. Cette collaboration francais aux bombardements quotidiens des covils du Donbass (amors que Paris est signataires des accords de paix de Minsk !) s'exerce politiquement, économiquement, militairement et judiciairement comme le prouvent les communiqués officiels, les sanctions économiques anti russes, les fournitures, contrats militaires et les interpellations politiques calomnieuses répétées de Hubert Fayard le représentant honoraire de la République Populaire de Donetsk en France par exemple.
Nul doute que la "vingtaine de volontaires français" repérés dans le Donbass (avec la complicité avouée de Laurent Brayard) sont dans le collimateur de Kiev mais aussi dans celui de Paris qui vont tout faire pour transformer judiciairement lors de leurs collaborations politico- militaro-industrielles les fiches "S" déjà collées sur leurs dos, en condamnations politiques.
Et je parie que la signature de prochains contrats industriels entre Paris et Kiev dépendra de cette chasse aux volontaires réclamée par le procureur de Kiev !
«Beaucoup d'ennemis, beaucoup d'honneur» disait Georg Von Freundsberg, à la bataille de Vicence en 1513, et sans vouloir me comparer au lansquenet bavarois, je me fous royalement de toutes ces accusations, étant citoyen de la République Populaire de Donetsk et côté français fiché "S" depuis bien plus longtemps pour activisme séparatiste breton dans cet Etat jacobin où je n'ai jamais considéré que mon rapport identitaire avec lui dépasse le cadre administratif imposé par son hégémonie historique.
Je suis un volontaire breton venu dans le Donbass défendre une population européenne (au sens civilisationnel du terme) agressé militairement par un Etat pro-occidental et ethnocentré au service de l'hégémonie russophobe des USA, de l'OTAN et de l'UE.
En revanche, il serait plus pertinent d'observer ce qui se passe sur le front ukrainien du Donbass à l'aune de ces nouvelles accusations de "crimes" et de "mercenariat" lancées par le bureau du Procureur de l'Ukraine, car en terme d'inversion accusatoire on atteint ici des sommets inégalés !
"Un mercenaire est un combattant étranger aux parties en conflit, "spécialement recruté dans le pays ou à l'étranger" et qui "prend une part directe aux hostilités". Ce combattant doit également avoir un "avantage personnel" à participer à ce conflit, qui doit prendre la forme d'une rémunération "nettement supérieure à celle de ses homologues de l'armée régulière"
Sommes nous des mercenaires ?
Article 47 [ le lien ici ] - Mercenaires
1. "Un mercenaire n'a pas droit au statut de combattant ou de prisonnier de guerre."
- Ce point est peut-être le plus intéressant car il explique pourquoi les volontaires étrangers dans le Donbass sont souvent qualifiés par la partie ukrainienne (qui n'a pas obtenu pour les républiques la qualification de "terroristes" par l'ONU ) de "mercenaires". En effet les conséquences juridiques liées au statut de "mercenaires" restreignent considérablement les droits des intéressés, Kiev cherche ainsi à les placer hors du cadre des accords de Minsk qui prévoit une amnistie et pas seulement pour la poignée d'occidentaux venus dans le Donbass mais aussi les locaux, les russes, les serbes, les ossètes, les abkhazes etc et qui sont pléthore depuis 2014.
2. "Le terme «mercenaire» s'entend de toute personne :"
a) "qui est spécialement recrutée dans le pays ou à l'étranger pour combattre dans un conflit armé ;"
- Dans le Donbass, il n'y a aucun "réseau de recrutement" organisé recrutant et accompagnant les volontaires venant combattre dans les milices. Au contraire il s'avère que pour les occidentaux, c'est plutôt "la croix et la bannière" pour arriver jusqu'à Donetsk et ensuite trouver un bataillon, et seules des cooptations individuelles et des infos directes et personnelles permettent aux intéressés de faire le trajet jusqu'à Donetsk et Lugansk, et à leurs frais. Ceci expliquant entre autres les faibles effectifs observés des occidentaux ainsi que les très nombreux cas de refoulement à la frontière russe pour ceux qui n'ont ni visa double entrée, ni contact sur place.
b) "qui en fait prend une part directe aux hostilités ;"
- Sur ce point de la participation aux hostilités, d'accord, en notant toutefois que la dimension médiatique des volontaires occidentaux a souvent incité dans les premiers temps de la guerre les autorités locales à ne pas exposer trop dangereusement ces étrangers particuliers pour éviter l'exploitation diplomatico-juridique qu'aurait immanquablement provoqué leur mort au combat (voir l'exemple des djihadistes étrangers tués ou capturés en Syrie par exemple)
c) "qui prend part aux hostilités essentiellement en vue d'obtenir un avantage personnel et à laquelle est effectivement promise, par une Partie au conflit ou en son nom, une rémunération matérielle nettement supérieure à celle qui est promise ou payée à des combattants ayant un rang et une fonction analogues dans les forces armées de cette Partie ;"
- Après être arrivé à Donetsk au début de l'année 2015, je me suis engagé dans la milice républicaine, sans intégration administrative et sans salaire, en tant que volontaire. Ce bénévolat caractérise la grande majorité des volontariats réalisés durant la première année de guerre. Ce n'est qu'à partir de avril 2015 au sein du 4ème bataillon de la "Garde Républicaine" où après avoir servi bénévolement plusieurs mois nous avons perçu notre première solde de.... 2000 hryvnias (soit un peu plus de 50 euros). Au fil des mois et des mutations mon salaire mensuel a augmenté jusqu'à la barre actuelle des 17000 roubles (250 euros environ), ce qui correspond sans aucune prime spéciale au même salaire en vigueur dans l'armée républicaine. Personnellement je n'appelle cela (pour l'avoir vécu dans le passé) une rémunération de "mercenaire".
d) "qui n'est ni ressortissant d'une Partie au conflit, ni résident du territoire contrôlé par une Partie au conflit ;"
- Sur ce point particulier, je dirai oui et non, car si les volontaires occidentaux arrivent effectivement dans le Donbass en tant que ressortissants étrangers, en revanche (pour ceux qui ne sont pas venus y faire que des safaris-selfies de courtes durées) une normalisation administrative est engagée pour ceux qui s’intègrent et s'inscrivent dans la durée: livret militaire, numéro d'identification citoyenne, certificat de résidence et passeport national. Le volontaire devient alors un citoyen à part entière de la République où il vit, travaille et pour laquelle il se bat.
e) "qui n'est pas membre des forces armées d'une Partie au conflit ;"
- Les volontaires étrangers dans le Donbass sont intégrés et dispersés individuellement dans les unités régulières du Ministère de la milice ou du Ministère de l'Intérieur des républiques de Donetsk et Lugansk. Il n'y a pas dans les républiques du Donbass des Sociétés Militaires Privées étrangères, style "Blackwater", comme il en existe du côté de Kiev, où d'unités autonomes et spécialisées dans l'accueil de volontaires étrangers comme les bataillons spéciaux autonomes ukrainiens, par exemple le régiment "Azov" qui ont accueilli au total depuis 2014 environ 17 000 volontaires étrangers (chiffre officiel) issus pour la plupart des "fachosphères" occidentales.
f) "qui n'a pas été envoyée par un Etat autre qu'une Partie au conflit en mission officielle en tant que membre des forces armées dudit Etat."
- Non le volontariat dans le Donbass est une décision individuelle personnelle qui ne correspond aucunement à une politique étatique et, pour parler de la Russie qui est accusée d'organiser ce "mercenariat" dans le Donbass, il suffit de regarder pour s'en convaincre le nombre de faits de justice où la bureaucratie parfois procédurière jusqu'à la connerie, renvoie en Ukraine ou dans leurs pays d'anciens miliciens en situation irrégulière. Et pour ne parler que des volontaires français étant venus dans le Donbass, parmi ceux qui sont repartis en France via la Russie après expiration de leur visa d'entrée initial, ils ont écopé après leurs interpellations d'une amende, d'une expulsion juridique, d'une interdiction de territoire de 5 ans et même pour certains d'une peine d'emprisonnement à Rostov de plusieurs mois. On ne peut donc pas vraiment pas parler ici de "réseau du Kremlin' en soutien aux défenseurs du Donbass! (heureusement, une procédure a été organisée depuis auprès des ministères des affaires étrangères de Donetsk et Lugansk pour demander sur place un visa de transit auprès des services consulaires de Rostov)
Peu me chaut d'être accusé de "terrorisme" (Kiev), de "nazisme" (street press), de "stalinisme" (prayvi sector), d' "espionnage", de "désertion", de "vol" (Brayard, Néant...) par des individus qui ne prouvent ici que leur débilité mentale et/ou leur servitude à de groupes subversifs et d'intérêts extérieurs. Je sais exactement pourquoi je suis dans le Donbass, quelles idées j'ai décidé de mettre au bout d'un fusil et quelles utilisations j'ai fait de ce dernier sur le front depuis plus de 5 années. Et j'emmerde ceux que cela dérange !
Quant aux accusations de terrorisme ou de crimes lancés régulièrement par les ukropithèques à l'encontre des volontaires venus se battre dans le Donbass, elles relèvent aussi comme les précédentes d'une débilité, calomnie, et inversion accusatoire mises au service de la propagande de guerre russophobe occidentale.
Avec Macron la France, qui était déjà le laquais de la stratégie de l'OTAN et du capitalisme libéral depuis longtemps, n'a de cesse que de s'investir de plus en plus aux côtés du nouveau régime de Kiev. Cette collaboration francais aux bombardements quotidiens des covils du Donbass (amors que Paris est signataires des accords de paix de Minsk !) s'exerce politiquement, économiquement, militairement et judiciairement comme le prouvent les communiqués officiels, les sanctions économiques anti russes, les fournitures, contrats militaires et les interpellations politiques calomnieuses répétées de Hubert Fayard le représentant honoraire de la République Populaire de Donetsk en France par exemple.
Nul doute que la "vingtaine de volontaires français" repérés dans le Donbass (avec la complicité avouée de Laurent Brayard) sont dans le collimateur de Kiev mais aussi dans celui de Paris qui vont tout faire pour transformer judiciairement lors de leurs collaborations politico- militaro-industrielles les fiches "S" déjà collées sur leurs dos, en condamnations politiques.
Et je parie que la signature de prochains contrats industriels entre Paris et Kiev dépendra de cette chasse aux volontaires réclamée par le procureur de Kiev !
«Beaucoup d'ennemis, beaucoup d'honneur» disait Georg Von Freundsberg, à la bataille de Vicence en 1513, et sans vouloir me comparer au lansquenet bavarois, je me fous royalement de toutes ces accusations, étant citoyen de la République Populaire de Donetsk et côté français fiché "S" depuis bien plus longtemps pour activisme séparatiste breton dans cet Etat jacobin où je n'ai jamais considéré que mon rapport identitaire avec lui dépasse le cadre administratif imposé par son hégémonie historique.
Je suis un volontaire breton venu dans le Donbass défendre une population européenne (au sens civilisationnel du terme) agressé militairement par un Etat pro-occidental et ethnocentré au service de l'hégémonie russophobe des USA, de l'OTAN et de l'UE.
En revanche, il serait plus pertinent d'observer ce qui se passe sur le front ukrainien du Donbass à l'aune de ces nouvelles accusations de "crimes" et de "mercenariat" lancées par le bureau du Procureur de l'Ukraine, car en terme d'inversion accusatoire on atteint ici des sommets inégalés !
- 6 années de bombardements et de blocus de populations civiles du Donbass, de tortures de prisonniers, de répression dans leurs territoires occupés...
- Des milliers de combattants étrangers déployés sur le front ukrainien dans des bataillons spéciaux nationalistes, des sociétés militaires privées étrangères...
Aujourd'hui c'est sans conteste l'Etat ukrainien et l'Etat français, pour ne citer que les 2 concernés par le sujet de cet article, qui devraient être traînés devant un nouveau tribunal de Nuremberg pour n’être plus que des criminels et des mercenaires au service de la ploutocratie internationale américano-sioniste !
Et de citer en conclusion feu Alexey Mozgovoy, le commandeur du bataillon "Prizrak" de la République Populaire de Lugansk:
"N'ayez pas peur pour la peau,
craignez pour l'honneur!"
Alexey Mozgovoy
A suivre...
Erwan Castel
Source de l'article : Bureau du procureur général de l'Ukraine
"Le Bureau du Procureur général a enregistré une procédure pénale contre la participation de mercenaires étrangers au FNP de la Fédération de Russie dans le conflit armé du Donbass
07.07.2020
Les procureurs du Département de la surveillance des crimes commis dans les conflits armés, le Bureau du Procureur général, ont saisi l'ERD* des informations sur la participation de mercenaires à des conflits armés, des actions intentionnelles visant à modifier le territoire ou la frontière de l'Ukraine en violation de la Constitution de l'Ukraine. à la mort de personnes ou à d'autres conséquences graves, ainsi qu'à la participation à des groupes armés non statutaires dans une attaque contre des entreprises, des institutions, des organisations ou des citoyens, qui a entraîné la mort de personnes ou d'autres conséquences graves (partie 4 de l'article 447, partie 3 Article 110, cinquième partie de l'article 260 du code pénal ukrainien).
Les procureurs ont constaté que, de 2014 à aujourd'hui, 20 citoyens de la République française ont participé au conflit armé contre l'Ukraine dans le cadre de formations armées irrégulières imprévues dans les territoires temporairement occupés des régions de Donetsk et Lugansk, entraînant la mort et d'autres conséquences graves.
Selon l'article 47 du Protocole additionnel I de 1977 aux Conventions de Genève pour la protection des victimes de la guerre, ce sont des mercenaires et leurs actions violent la Convention internationale pour la répression du recrutement, de l'utilisation, du financement et de la formation des mercenaires, adoptée par l'Assemblée générale des Nations Unies le 4 décembre 1989.
L'enquête préliminaire a été confiée aux enquêteurs du Département principal des enquêtes du Service de sécurité d'Ukraine.
La sanction maximale prévue par ces articles est passible d'une peine d'emprisonnement à perpétuité avec ou sans confiscation de biens."
Note :
* ERDR : Registre unifié des enquêtes préliminaires (ERDR) est une base de données électronique créée à l'aide d'un système automatisé, selon laquelle les données sur les infractions pénales et le déroulement des enquêtes préliminaires dans les procédures pénales sont collectées, stockées, protégées, enregistrées, recherchées"Note :