La lâcheté criminelle ukrainienne
Comme celui des reporters de guerre, le travail des unités de secouristes militaires intervenant sur les zones de guerre, déjà dangereux, s'avère particulièrement périlleux sur les secteurs exposés aux tirs de l'armée ukrainienne.
Reporters et médecins sont même souvent des cibles prioritaires pour les soudards de Kiev, à tel point que par exemple les journalistes travaillant sur le front hésitent a porter les signes vestimentaires distinctifs marquant leur fonction et leur neutralité.
Ainsi 2 médecins et leur chauffeur ont été tués le 6 août en soirée par un tir de missile antichar ukrainien tiré sur leur véhicule roulant pourtant avec identification sanitaire, gyrophare et phares allumés..
Encore un crime de guerre ukrainien qui passera bien sûr sous les radars des médias occidentaux moralistes...
Erwan Castel
Source de l'article : Novorossiya Today
Au cours de la nuit du 6 au 7 août 2018, le standardiste des urgences de la République Populaire de Donetsk a reçu un appel d'une habitante du village Naberejnoïé de la région de Novoazovsk qui se plaignait des douleurs dans la poitrine. Comme une ambulance civile ne pouvait pas se rendre la nuit dans la zone près de la ligne du front, ce sont des médecins de l'armée de la RPD qui se sont chargés de porter le secours à la malade, a informé le chargé de relations presse du commandement opérationnel Daniil Bessonov.
Selon lui, la camionnette « Oural » portait tous les signes distinctifs permettant de l'identifier en tant que véhicule sanitaire et roulait avec le gyrophare et le feux allumés. A l'approche du village, un tir de missile anti-char a été effectué sur le véhicule depuis les position de la 93e brigade des forces kiéviennes qui a tué le chauffeur et deux femmes médecins.
Daniil Bessonov a appelé la communauté internationale à condamner des exactions commises en permanence par Kiev à l'encontre de toutes les conventions internationales qui gèrent des conflits armées.