Et qui sont les terroristes ?
Et au reste du monde j'adresse mon écoeurement, car...
Qui bombarde les populations civiles des pays non alignés au Nouvel Ordre Mondial ?
Qui finance et arme le terrorisme salafiste et ses djihadistes à travers le monde ?
Qui organise des coups d'État et autres révolutions colorées contre des gouvernements ?
Qui organise des false flags criminels pour diaboliser les pays insoumis ?
Qui soutient les putschistes du Maïdan le retour du nazisme et la guerre contre le Donbass ?
Qui etc... assassine, détruit, envahi, et depuis 2000 ans, au nom de l'amour, du progrès, des droits de l'Homme ou de la démocratie des populations accusées d'être des barbares, des sauvages, ou des terroristes ?
Ce sont les occidentaux et leurs affidés, séides, laquais et autres portes flingues aux crânes rasés ou égorgeurs barbus
Et pourtant, à en croire la bien-pensance de la sacro sainte pensée unique occidentale, ce sont les rebelles de Palestine ou du Donbass, les gouvernements de Téhéran ou de Damas et autres insoumis au Nouvel Ordre Modial qui sont accusés de barbarie et de terrorisme !
Le meurtre du Président Zakharchenko est la preuve, s'il en était encore besoin, de ce cynisme occidental et lâche qui tente de maquiller son hégémonie criminelle dans une inversion accusatoire hallucinante.
Et cet attentat terroriste perpétré par Kiev au cœur de Donetsk contre le représentant de la population de la RPD risque fort d'euthanasier ces accords de Minsk déjà moribonds depuis leur naissance et de provoquer une nouvelle flambée de violences sur le front du Donbass qui menacera toute la région voire l'Europe.
Réveillez vous !
Erwan Castel
Source de l'article : RT
Le meurtre de Zakharchenko entraîne le conflit ukrainien «vers l'une des pires voies possibles»
Le meurtre de Zakharchenko entraîne le conflit ukrainien «vers l'une des pires voies possibles»© Maxim Zmeyev Source: Reuters
Alexandre Zakharchenko.
Andréa Kotarac, conseiller régional de la France insoumise, a côtoyé Alexandre Zakharchenko. Il estime que cet acte sur un représentant de Donetsk «aimé par le peuple» tourne une page dans l'histoire de ce conflit et redoute une escalade.
Alexandre Zakharchenko, dirigeant de la République populaire autoproclamée de Donetsk (RPD) dans l'est de l'Ukraine, a été tué par une explosion ce 31 août à Donetsk. Cet assassinat, dont la Russie tient l'Ukraine pour responsable, pourrait mener le conflit en Ukraine «vers l'une des voies qui est la pire», selon Andréa Kotarac, conseiller régional de la France insoumise en Auvergne-Rhône-Alpes, qui a côtoyé Alexandre Zakharchenko à Donetsk.
«Je crois que quand on tue le représentant de la République populaire de Donetsk, d'une des parties au conflit, un seuil non négligeable est franchi», s'inquiète-t-il, rappelant qu'Alexandre Zakharchenko était l'un des signataires des accords de Minsk en 2015 et que ceux-ci n'étaient pas vraiment respectés, Paris ayant notamment envisagé de vendre des hélicoptères de combat à Kiev.
Andréa Kotarac, au nom de la France insoumise, rappelle que Jean-Luc Mélenchon tire la sonnette d'alarme depuis plusieurs années quant à la question ukrainienne. «La question de la paix sur le continent devrait être posée aux européennes», estime-t-il.