"C'est un cauchemar !"
Ce mois de février aura été l'un des plus sanglants du Donbass depuis la signature des accords de Minsk, il y a 4 ans. Dès le début de ce deuxième mois de 2019 et quelques jours après le retour du régiment ultra nationaliste "Azov", les pertes des défenseurs du Donbass ont connu une augmentation dramatique, et qui devait se poursuivre dans les semaines qui ont suivi. Principalement ce sont des bombardements ukrainiens qui sont à l'origine de l'hécatombe de février, dont il faut leur reconnaitre une surprenante précision et qui me fait penser à l'arrivée sur le front de nouveaux matériels de pointage (voire de mortiers), de nouvelles techniques de correction de tir (depuis des drones d'observation) auxquels il faut rajouter aussi les conséquences de l'expérience du front et de la formation dispensée par les instructeurs étasuniens et canadiens. C'est principalement le front Sud de la République Populaire de Donetsk (front entre Mariupol et Novoazov