Pour Daria !

"Nos cœurs aspirent à plus qu’une vengeance ou un châtiment.
C’est trop mesquin, trop peu russe.
Nous n’avons besoin que de notre Victoire.
Sur son autel, ma fille a déposé sa vie de jeune fille.
Alors, gagnez, s’il vous plaît !" 
Alexandre Douguine 

Ce 24 août, cela fait 6 mois que les opérations militaires russes ont été lancées pour mettre un terme à la guerre russophobe ukrainienne. 

Le Kremlin vient d'annoncer que les opérations militaires russes en Ukraine vont évoluer vers un nouveau format, plus radical pour éradiquer définitivement la menace ukro atlantiste des frontières de la Fédération de Russie. 

Même si des paramètres multiples, politiques et militaires peuvent être légitimement avancés pour expliquer la décision de l'Etat Major russe de lancer une nouvelle phase stratégique en Ukraine (résistance ukrainienne persistante, aides occidentales augmentées, frappes sur le territoire national russe...), il est difficile de ne pas penser au martyr de Daria Douguine, dont les proches ont porté sa dépouille en terre ce 23 août 2022 et dont l'ignoble assassinat aux ramifications ukrainiennes est devenu un haut symbole du combat mené par la grande Russie et ses alliés contre cette ploutocratie mondialiste amorale et criminelle voulant aliéner leurs peuples.

De fait, et contrairement aux propagandistes qui de Kiev à Moscou chantent "tout va très bien madame la marquise !", le conflit ukrainien présente aujourd'hui un ralentissement opératif qui, même s'il est principalement un choix de l'Etat Major russe menace le front à la veille de la saison automnale d'un enlisement des initiatives stratégiques. On peut notamment observer:

  • Un ralentissement des progressions alliées due à une volonté ukrainienne d'imposer une guerre d'attrition et à sa réaction russe d'économiser au maximum soldats et matériels.
  • Un stratégie défensive urbaine réalisée de chaque côté pour fortifier le front, par exemple à Avdeevka et Slaviansk pour les ukrainiens et Kherson et Izioum pour les russes,
  • Un affaiblissement réciproque par des bombardements dans la profondeur des réseaux et dépôts logistiques, aussi bien ukrainiens que russes diminuant leurs capacités offensives,
  • Des aides militaires occidentales aux ukrainiens maintenues (encore 3 milliards de $ accordés par Washington le 23) qui, si elles n'apportent pas la victoire à Kiev, retardent sa défaite,
  • Une augmentation exponentielle des actions terroristes meurtrières ukrainiennes qui cherchent à imposer en Russie et  l'international une extension du conflit et de ses implications.
Donc, même si sur le terrain les forces russes et républicaines continuent de progresser vers leurs objectifs, elles devront probablement et rapidement augmenter leurs pressions offensives pour éviter que l'inévitable défaite de Kiev ne devienne également une victoire à la Pyrrhus au minimum sur le plan des moyens militaires mais également éradiquer le plus rapidement la menace ukro-atlantiste qui à l'instar de celle des djihadistes en Syrie, ces autres idiots utiles de Washington, s'oriente de plus en plus vers une radicalisation terroriste des actions ukrainiennes.

En effet, de par leurs comportements ignominieux, le régime de Kiev et ses soudards confirment bien la justesse, l'urgence et la légitimité d'opérer une "dénazification" de ce pays parti dans une dérive totalitaire depuis 2014, et qui est un des objectifs des opérations militaires russes lancées le 24 février par le Kremlin en Ukraine. Comment en effet ne pas qualifier de nazis les crimes de Kiev menés contre des populations russes que nombre de responsables ukro-atlantistes considèrent comme des sous-hommes: bombardements génocidaires des populations civiles, persécutions contre les russes, tortures et exécutions sommaires, minage des zones résidentielles, attentats terroristes, bombardements sur centrale nucléaire.... et tous ces autres actes criminels à caractère génocidaire animée par une hystérie russophobe se réclamant officiellement du nazisme :

Depuis des années plusieurs organisations mémorielles
 occidentales alertent sur cette résurgence en Ukraine
d'un nazisme décomplexée et protégée par l'Occident.

Le général ukrainien Valeri Zaluzhnyi, chef d'état Major des forces armées ukrainiennes a déclaré par exemple à l'occasion du 24 août (fête nationale) que "l'indépendance c'est d'abord la mort, du sang et des larmes" et, s'il vous plaît, sous le regard d'un buste de Stepan Bandera ornant son bureau, ce nationaliste ukrainien et nazi notoire dont les séides nationalistes ont participé aux crimes génocidaires du IIIe Reich, assassinant selon les rapports de toutes les organisations mémorielles près d'un million de personnes pendant le guerre (russes, juifs, tsiganes...)

Mais ici encore, les "journalistes" occidentaux regardent ailleurs préférant insulter la mémoire de Daria Douguine et leur déontologie professionnelle.

Le Chef d'Etat-Major ukrainien en compagnie de Stepan Bandera

"A chaque jour suffit sa peine !"

Alors que le bilan provisoire des bombardements ukrainiens l'ayant frappé la veille s'élève à 3 morts et 14 blessés ce 24 août, Donetsk a encore été victime du terrorisme meurtrier des forces de Kiev, comme chaque jour depuis 8 années, et dans un crescendo rendu possible par une aide militaire occidentale de plus en plus directe se rajoutant depuis plusieurs mois à une collaboration politique et économique criminelle soutenant une idéologie qui est hypocritement condamnée par les capitales droitdelhommistes de l'OTAN.


Ce 24 août, les bombardements ukrainiens ont commencé depuis 1 heure du matin à frapper les zones résidentielles républicaines de Donetsk à Gorlovka, utilisant majoritairement des obus de l'OTAN de 155mm .Et vers 10h, au moment d'une de ses plus importantes heures d'affluence, l'hypermarché Galaktika qui est situé sur la périphérie Sud de Donetsk a été frappé par plusieurs tirs ukro-atlantistes.

Arrivés sur place 2 heures après le bombardement
ukrainien, l'hypermarché brulait  toujours malgré le
travail remarquable de 90 pompiers et 20 véhicules 
du Ministère républicain des Situations d'Urgence.

Un peu plus tard les bombardements ukrainiens reprenaient ailleurs, à coups d'obus de 152 et 155mm ou de roquettes dont certaines, à sous munitions, continuent à disséminer des mines antipersonnelles PFM1 "Tulip" sur les quartiers résidentielles, comme aujourd'hui sur le district de Petrovsky (Sud Ouest de Donetsk) avec 2 roquettes de 220mm "Uragan". 

Depuis la fin du mois de juillet, rien qu'avec ces mines "Petal" dot certaines malheureusement échappent aux ratissages des sapeurs ou tombent des toits ultérieurement, 2 civils ont été tués et 44 autres gravement mutilés (amputations pied, jambe ou bras) dont plusieurs enfants.

Affichette avertissant des dangers et des consignes à
respecter face aux mines antipersonnelles PFM1 "Tulip"

Et pendant ce temps là les médias français continuent à vouloir nous faire prendre des vessies pour des lanternes et des cheminées de centrale nucléaire pour des missiles russes !

Chaque jour, ce conflit révèle par les actions fanatiques amorales et criminelles de Kiev, que nous sommes bien en présence d'une guerre totale, commanditée, soutenue par la ploutocratie occidentale et menée officiellement par ses proxys ukrainiens... pour le moment.


Concernant la volonté occidentale d'internationaliser le conflit:

En prolongeant l'agonie de l'armée ukrainienne, les aides militaires occidentales qu factuellement sont une co-belligérance de l'OTAN irresponsable et suicidaire car cette stratégie menace la Russie mais aussi les pays occidentaux.

"Si des tiers souhaitent s'ingérer dans les événements 
actuels, alors ils doivent savoir qu'ils créeront une 
menace géopolitique pour nous et doivent savoir qu'il 
y aura une réponse, un frappe rapide. Nous avons pour
cela tous les moyens que nul autre n'a aujourd'hui et
nous utiliserons ces moyens si c'est nécessaire" 

Vladimir Poutine (6'50" de la vidéo ci après)

Le président Poutine rappelle ici les circonstances 
géopolitiques organisées par les occidentaux et
qui ont conduit dramatiquement au conflit actuel.

Mais comme d'habitude depuis le discours de Munich de 2007,les occidentaux, non seulement ne tiennent pas compte des avertissements et revendications légitimes de Moscou en matière de sécurité collective mais les méprisent et les provoquent dans un bellicisme de plus en plus radical. Ainsi des USA dont Biden vient d'annoncer une énième aide militaire à l'Ukraine d'un montant de 3 milliards de dollars ou de cette Albion toujours perfide dont le 1er ministre Johson est venu narguer le Kremlin en paradant à Kiev ce 24 août aux côtés de sa marionnette Zelensky.

Les 3 nouveaux milliards de $ (soit 480 milliards $ au total) accordés à Kiev par Washington achemineront les jours prochains, entre autres armes et munitions:
  • 6 systèmes antiaériens NASAM ainsi que des stocks de missiles
  • Des systèmes de défense anti drone VAMPIRE
  • Des munitions à guidage laser
  • 245 000 obus de 155 mm ;
  • 65 000 obus de mortier de 120 mm ;
  • 24 radars de contre batteries d'artillerie
  • Des drones RQ 20 PUMA et SCAN EAGLE
  • Un budget pour la formation et l'entrainement...
Du côté de la Grande Bretagne dont les aides sont plutôt orientées sur la formation des unités de mêlée et des forces spéciales ukrainiennes, la venue de Johnson à Kiev n'a pas du se faire les mains vides.

Boris Jonhson en visite à Kiev le 24 août dans 
un palais présidentiel ukrainien toujours intact. 

Même si elle est victorieuse sur le terrain, l'armée russe pour mettre un terme à cette escalade internationale orchestrée par Washington va certainement devoir "passer à la vitesse supérieure" pour atteindre le plus rapidement possible la destruction des forces ukro-atlantistes, la chute du régime ukro-atlantiste de Kiev mais aussi la sécurisation totale des zones contrôlées où les actions terroristes sont également en augmentation. 
Peut-être précédée par une pause opérationnelle comme celle observée entre les deux premières phases opérationnelles (début avril) une troisième phase stratégique russe va probablement être lancée prochainement, avec plus d'effectifs engagés, plus d'objectifs territoriaux et plus de destructions massives de l'appareil politico-militaire ukrainien.

Et ce conflit existentiel, pour beaucoup de russes revêt logiquement une dimension eschatologique, confirmée par cette hystérie russophobe et manichéiste du système occidental que confirme tragiquement le martyr de Daria Douguine assassinée le 21 août dans un attentat terroriste ukrainien près de Moscou.

Le père de Daria, Alexandre Douguine, surmontant dans un effort surhumain sa peine a tenu à prononcer ce discours émouvant lors des adieux à sa fille :

"Je ne pouvais pas, je ne voulais pas parler, mais Natasha dit que "Dasha" serait ravie d'entendre maintenant mes mots.

Pardonnez-moi.

Vous savez, je voulais élever ma fille comme je vois l'idéal d'e l'Homme. Tout d'abord, c'est la foi, elle a passé toute son enfance dans des camps orthodoxes, est allée à l'église. Et c'est important, mais je voulais aussi qu'elle soit une orthodoxe intelligente, alors sa mère et moi lui avons conseillé de devenir philosophe. Et c'est ce qu'elle est devenue.

Je ne peux pas dire si elle est profonde en tant que philosophe.

Mais elle a essayé d'aller dans cette direction. Maintenant, peut-être, quelque chose que nous n'avons pas vu, n'avons pas remarqué, s'ouvrira.

Et depuis l'enfance, ses premiers mots, que, bien sûr, nous ne lui avons pas appris, étaient "la Russie", "notre État", "notre peuple", "notre empire". Et elle est devenue si parfaite. Passant par des épreuves difficiles, elle n'en est devenue que bien meilleure que nous.

Dans notre famille, il a toujours été établi dès le début: vous devez devenir meilleur, vous devez devenir plus grand que vous-même, vous devez devenir plus courageux, vous devez devenir plus intelligent, vous devez devenir plus parfait. Nous ne l'avons pas félicitée, et elle n'en avait pas assez. Nous avons dit: c'est un défaut, sois meilleur, sois meilleur, sois plus grand. Et peut-être exagéré.

Elle n'avait pas peur, vraiment. Et quand elle et moi avons parlé pour la dernière fois au Festival de la Tradition, elle m'a dit:

"Papa, je me sens comme une guerrière, je me sens comme un héros, je veux être comme ça, je ne veux pas d'autre destin, je veux être avec mon peuple, avec mon pays, je veux être du côté des forces de la lumière, c'est la chose la plus importante."

Dans ma dernière conférence où nous étions ensemble, j'ai dit que l'histoire était une bataille de lumière et d'obscurité, de Dieu contre son adversaire. Et même notre situation politique, notre guerre en Ukraine, mais pas avec l'Ukraine – cela fait également partie de cette guerre. La lumière et ténèbres. Ni plus, ni moins. Et quand nous partions, une minute avant sa mort, une mort qui s'est produite sous mes yeux, la chanson d'Akim Apachev a retenti " Dans Azovstal" les démons sont enterrés ". Elle voulait l'écouter, mais nous sommes partis plus tôt. Cela n'aurait rien changé.

C'est le sens de sa vie qui est frappant, elle était significative, difficile, malgré le fait qu'elle était encore presque une jeune fille, elle n'a même pas vécu trente ans, elle est partie, mais elle a suivi cette logique, qui est devenue sa logique. Et donc je suis très reconnaissante et ému - je ne pensais pas qu'elle était connue et traitée comme ça

Elle était ce dont elle parlait. Combien de duplicité dans nos vies, combien de lâcheté, mais elle n'était pas comme ça, elle était entière, elle était tellement élevée, et son chemin est un argument incroyable, le plus terrible, peut – être le plus monstrueux, déchirant dans sa justesse. C'est ce qu'il faut. C'est ainsi qu'elle ne voudrait pas d'un autre destin, d'une autre vie.

Elle aimait la gloire qui lui manquait, elle était peu louée. Et maintenant que le président lui a décerné l'ordre du Courage, je sens qu'elle se réjouit, comme elle dit: "tu vois, papa, comme je suis bien, et tu as dit." Vous savez, aimer la gloire pour son bon côté – qu'est-ce qui ne va pas si c'est pour la lumière. Pas pour autre chose. Si vous vous êtes apporté à l'autel de votre pays, de votre foi, de votre vérité, alors qu'est-ce qui ne va pas, si on vous rend hommage, c'est si juste.

Désolé, je ne peux pas parler, je vous suis très reconnaissant, je suis reconnaissant à tout le monde, à tout notre peuple, je ne savais pas que cela pourrait être le cas, à tous ceux qui sont venus, à tous ceux qui ont répondu, à tous ceux qui ont écrit. Il s'avère que je ne connaissais pas qui était ma personne la plus proche et l'ami le plus proche des autres.

Désolé, je pense que la Dernière chose que je veux dire – pour elle, la vie était un sens, le sens était pour elle la composante la plus importante, elle a vécu dans ce sens. Et si cela affectait quelqu'un, sa mort tragique, sa personnalité, son intégrité, alors elle aurait un désir: ne vous souvenez pas de moi, ne me glorifiez pas, combattez pour notre grand pays, défendez notre foi, notre Sainte Orthodoxie, aimez notre peuple russe, parce qu'elle est morte pour le peuple, elle est morte pour la Russie sur le front, et ce front est ici. Pas seulement là – bas, ici en chacun de nous.

Et le plus grand prix à payer ne peut être justifié que par l'accomplissement suprême, la victoire. Elle a vécu pendant la victoire et elle est morte pendant la victoire. Notre victoire russe, notre vérité, notre Orthodoxie, notre pays, notre puissance."

Alexandre Douguine, 23 août 2022


Une enquête antiterroriste qui avance à grand pas... vers l'OTAN !

Concernant l'attentat terroriste ayant tué la philosophe Daria "Platonova" et  fille d'Alexandre Douguine, l'enquête du FSB a réussi à identifier avec certitude une suspecte ukrainienne travaillant pour les services de sécurité ukrainiens et en cheville avec les néo-nazis du régiment Azov.

Il s'agit de Natalya Vovk, née Shaban, originaire de l'oblast de Donetsk et dont le mari "Danil est membre d'Azov.  Les enquêteurs ont pu reconstituer  son itinéraire depuis le territoire de la République Populaire de Donetsk où elle était revenue vers Moscou, sa location d'appartement dans le voisinage immédiat de celui de Daria Douguine, sa présence au Festival de la Tradition et son exfiltration vers l'Estonie.

Pour ses déplacements, Natalia Vovk a utilisé 
la même mini Cooper avec 3 immatriculations
différentes :  E982ХН DPR (de Donetsk) pour 
aller en Russie, 172AJD02,(du Kazhakstan) à
Moscou et AH7771IP (Ukraine/Donetsk) pour
sa fuite vers l'Estonie et l'Union Européenne.

Cette femme de 43 ans, pour endormir la méfiance des services frontaliers russes, a travaillé sa couverture jusqu'à opérer accompagnée de sa fille de 12 ans Sofia Shaban et même de son chat. 

Mais cette femme qui est très fortement suspectée d'être la meurtrière de Daria Douguine n'a  de toute évidence pas agit toute seule mais au sein d'une équipe professionnelle disposant de spécialistes, notamment dans le domaine du renseignement et de l'armement, ainsi que des des moyens adaptés pour infiltrer le territoire russe, s'approcher des Douguine, choisir le moment le plus opportun, et réaliser techniquement l'attentat et l'exfiltration vers l'OTAN.

Il semblerait que Natalia Vovk était venue il y a quelques semaines en France sous la couverture de "réfugiée ukrainienne", et que les étapes de son itinéraire de retour (Pskov puis Estonie, et Autriche) laissent à penser qu'elle y est peut-être retournée après l'attentat. De là à avancer que les services occidentaux ont participé à sa mission terroriste, il n'y a qu'un petit pas, sachant que leurs antennes consulaires moscovites disposent de toutes les ressources financières et de renseignements pour aider le ou les assassins. 

Le festival de la Tradition où Alexandre et Daria ont animé une conférence a offert le lieu et le moment opportuns pour mettre en œuvre l'attentat: manifestation publique dans un village loin des systèmes de surveillance urbaine et permettant une exfiltration rapide et furtive. 2 semaines avant l'attentat (pour ne pas faire la relation avec l'événement culturel) les deux caméras de surveillance ont été lises en panne "accidentellement", ce qui confirme l'anticipation et le professionnalisme de l'opération, dont l'organisation, les procédures et les moyens trahissent portent bien la signature de services spécialisés et non d'une simple organisation terroriste.

D'autres détails confirment cette présomption de culpabilité pesant sur Natalia Vovk qui lorsqu'elle sera validée la conduira par n'importe quel moyen devant la justice des hommes ou des armes. Mais maintenant l'enquête s'intéresse prioritairement à son réseau sans lequel l'attentat était impossible. Et les regards de se tourner vers Kiev et bien au delà vers les services actions travaillant pour l'OTAN.

Erwan Castel

La sépulture de Daria Aleksandrovna Douguine, près de Moscou


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