De quelles règles de guerre parle ce Zelensky ?
A l'annonce de la prochaine tenue à Marioupol d'un tribunal chargé de juger certains membres d'Azov accusés d'avoir commis des crimes de guerre dans le Donbass, le pantin kiévien a poussé des cris d'orfraie clabaudant que ce serait une violations inadmissibles des droits de la guerre et un franchissement d'une ligne rouge rendant impossible toute forme de négociation entre Moscou et Kiev, allant même jusqu'à qualifier la racaille d'Azov, nazie jusque dans ses tatouages "héros de leur patrie" défendant la liberté de leur peuple". Fallait oser !
De qui se moque t-on ?
Azov est une unité militaire reconnue néo-nazie jusqu'en Occident (Centre Simon Wiesenthal, ONU, Amnesty, Droits de l'Homme etc) et même jusqu'au sénat américain qui demandait en 2019 à ce que les armes livrées à l'Ukraine ne finissent pas dans ses armureries. Les considérer aujourd'hui comme des héros (alors qu'ils se sont terrés comme des rats dans les souterrains d'Azovstal) ne relève pas seulement d'une hypocrisie intellectuelle stupide mais surtout d'une collaboration à une idéologie inacceptable et des crimes de guerre confirmés.
Les droits de la guerre par définition ne connaissent pas de ligne de front et doivent être appliqués par tous les belligérants et non agités sur le grand théâtre cynique de la marchandise Après que Zelensky ait donné un de ses numéros de clown pathétique dont il a le secret, ses soudards, et pour ne citer que 3 de leurs actions réalisées ce 25 août parmi les dizaines de bombardements effectués sur les zones résidentielles républicaines :
- Tuaient ce matin une mère et blessaient ses 2 enfants âgés de 12 et 17 ans lors d'un bombardement de Gorlovka,
- Disséminaient à nouveau à la mi journée des dizaines de mines antipersonnelles sur des quartiers résidentiels de Donetsk,
- Bombardaient l'usine chimique de production d'ammoniac "Stirol" de Gorlovka lors d'un tir ciblé sur ses dépôts chimiques.