6 années de haine, de sang et de honte
Le 14 avril 2020, le président ukrainien par intérim, Oleksandr Turtchinov autorisait le déclenchement dune "Opération Spéciale Antiterroristeé contre les populations russes du Donbass, animées par un fort mouvement séparatiste suite au coup d'Etat russophobe organisé sue le Maîdan en février de la même année.
Aujourd'hui, il est acquis que cette "Opération Spéciale Antiterroriste" qui allait libérer une haine contre les populations civiles du Donbass appuyée par une déferlante insensée et disproportionnée de véhicules blindés, avions et hélicoptères de combat n'était que le prolongement d'une offensive par procuration menée par les services américains dans la zone d'influence européenne de la Russie. Et l'intervention politico-économique des occidentaux lors du Maïdan et jusqu'aux ordres donnés par leurs services secrets est visible comme le nez au milieu d'un visage à l'instar par exemple de cette visite de John Brennan, Directeur de la CIA en personne, venu le 13 avril 2014 superviser les détails de la guerre contre le Donbass.
Car à cette époque les faucons de guerre de Washington l'ont plutôt mauvaise, malgré un renversement réussi du gouvernement Ianoukovitch, car leur objectif stratégique prioritaire, à savoir la péninsule de Crimée d'où ils veulent expulser la flotte russe de la Mer Noire, leur a échappé par un référendum écrasant signant son retour au sein de la Fédération de Russie. Et pire que cela, les populations russophones se soulèvent de Kharkov à Odessa, refusant le coup d'état du Maïdan et leur ostracisation violente engagée par le nouveau pouvoir de Kiev. Il faut donc écraser la rébellion avant que le projet de l'OTAN en Ukraine implose définitivement en vol.
Dans toutes les régions russophones les populations protestent et refusent le nouveau pouvoir de Kiev issu du coup d'Etat du Maïdan (ici à Lugansk) |
Tandis que des hordes de radicaux nationalistes commencent à terroriser les populations russophones les premiers blindés ukrainiens arrivent aux portes de Slaviansk et Kramatorsk où Igor Girkin dit "Strelkov" anime à partir d'un noyau de 54 volontaires la première rébellion armée du Donbass qui comptera très rapidement des milliers de volontaires et résistera pendant 4 mois au siège des forces de Kiev.
Cette folie meurtrière ukrainienne vomie par le Maïdan allait ouvrir ce 14 avril 2020 au coeur de l'Europe une guerre fratricide qui dure depuis 6 ans et plus de 20 000 morts (officiellement 13000), des milliers de destructions dans une résurgence de guerre froide entre Moscou et Washington dont les conséquences économiques, diplomatiques et militaires se font sentir à travers le Monde entier.
Et depuis 2014, Porochenko a succédé Turtchinov avant de donner le relais à Zelensky sur fond d'accords de paix signés à Minsk en septembre 2014, renouvelés en février 2015 mais jamais respectés...
- 6 années de haine russophobe occidentale hystérisée par l'instrumentalisation de psychopathes bandéristes et néo-nazis,
- 6 années de souffrance, de larmes et de sang pour des populations civiles subissant blocus et bombardements quotidiens,
- 6 années de honte pour les gouvernements européens qui soutiennent, politiquement, financièrement et médiatiquement les crimes de guerre ukrainiens dans le Donbass.
Le Donbass est depuis 6 ans coincé entre un bélier ukrainien meurtrier lancé et les murailles d'une Russie prise à la gorge par les avancées de l'OTAN et les sanctions économiques occidentales. Kiev, mène quotidiennement contre les populations russes une guerre d'usure à caractère génocidaire, mais sans jamais briser par un massacre de masse cet équilibre fragile et hypocrite du processus de paix, ce qui justifierait une intervention russe à caractère humanitaire, un abandon du soutien occidental et l’arrêt de mort de sa colonie militaire Ukraine.
Ce 14 avril a été inhumée à Gorlovka, Miroslava Vorontsova,
26 ans, tuée par un bombardement ukrainien ciblant une zone
résidentielle civile à Shirokaya Balka, le 9 avril 2020.
Aujourd'hui la situation militaire, politique et surtout psychologique est complètement bloquée, et surtout irréversible, car tant du côté de Kiev qui rêve d'une épuration ethnique du Donbass que du côté de Donetsk et Lugansk qui rêvent de rejoindre la Fédération de Russie pour que cesse le martyr de leur population, un retour du Donbass en Ukraine est tout simplement impensable.
Chaque jour des femmes et des hommes tombent sur ce front du Donbass, militaires et civils dont le seul crime est de vouloir continuer à être ce qu'ils sont depuis des générations et des générations : un peuple russe du bassin du Don. La haine et la guerre portée dans leurs foyers par le nouveau régime de Kiev leur rappelle qu'ils étaient déjà russes il y a seulement un siècle et que ce sont les bricolages des apprentis soviétiques qui les ont enfermé en 1921 dans une Ukraine démesurée et artificielle. Depuis le Maïdan, le sentiment d'abandon vécu depuis l'indépendance de l'Ukraine est devenu une russophobie hystérique qui cherche à éradiquer de leur terre leur identité jusqu'à leur présence physique...
Et pour illustrer ce nouveau conflit fratricide organisé au coeur de l'Europe par l'hégémonie mondialiste, je choisis cette photo de Zelensky, la nouvelle marionnette étasunienne de Kiev, en visite cette semaine sur le front du Donbass et dont l'insigne porté sur son uniforme révèle la mentalité qui l'anime réellement derrière ses fallacieux discours pacifistes et surtout populistes qui l'ont porté au pouvoir. Cet insigne se passe de tout commentaire :
Si la paix est sur de nombreuses lèvres, les coeurs savent en revanche que seule la guerre permettra de l'instaurer durablement en mettant fin à ce cauchemar qui n'en finit pas, tant pour les familles russes du Donbass, en particulier celles qui vivent à proximité du front que pour celles qui sont sous la botte ukrainienne dans les territoires occupés par Kiev et dont la libération est la condition sine qua non au retour de la paix dans cette région russe du bassin du Don.
Chaque jour des femmes et des hommes tombent sur ce front du Donbass, militaires et civils dont le seul crime est de vouloir continuer à être ce qu'ils sont depuis des générations et des générations : un peuple russe du bassin du Don. La haine et la guerre portée dans leurs foyers par le nouveau régime de Kiev leur rappelle qu'ils étaient déjà russes il y a seulement un siècle et que ce sont les bricolages des apprentis soviétiques qui les ont enfermé en 1921 dans une Ukraine démesurée et artificielle. Depuis le Maïdan, le sentiment d'abandon vécu depuis l'indépendance de l'Ukraine est devenu une russophobie hystérique qui cherche à éradiquer de leur terre leur identité jusqu'à leur présence physique...
Et pour illustrer ce nouveau conflit fratricide organisé au coeur de l'Europe par l'hégémonie mondialiste, je choisis cette photo de Zelensky, la nouvelle marionnette étasunienne de Kiev, en visite cette semaine sur le front du Donbass et dont l'insigne porté sur son uniforme révèle la mentalité qui l'anime réellement derrière ses fallacieux discours pacifistes et surtout populistes qui l'ont porté au pouvoir. Cet insigne se passe de tout commentaire :
Si la paix est sur de nombreuses lèvres, les coeurs savent en revanche que seule la guerre permettra de l'instaurer durablement en mettant fin à ce cauchemar qui n'en finit pas, tant pour les familles russes du Donbass, en particulier celles qui vivent à proximité du front que pour celles qui sont sous la botte ukrainienne dans les territoires occupés par Kiev et dont la libération est la condition sine qua non au retour de la paix dans cette région russe du bassin du Don.
Erwan Castel
"Mon coeur regarde-moi, ma main s'est muée en poing"
Une des nombreuses chansons devenues symbole de
cette rébellion du peuple du Donbass pour défendre sa
Liberté et ses traditions russes. Paroles, voir le lien ici .